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15 octobre 2017 7 15 /10 /octobre /2017 12:54
Les moutons vibrent à l'unisson, s'interrogeant sur le nouvel horizon. Boucherie chez Orion ou transfiguration de la condition?

Les moutons vibrent à l'unisson, s'interrogeant sur le nouvel horizon. Boucherie chez Orion ou transfiguration de la condition?

I SSP Secret Space Program-COG Continuity Operation Government-DE Deep Event

Un petit tour dans le noir, le black et toutes ces informations que d’aucuns catalogueront sans ménagement “conspiration”, cette nouvelle forme de censure qui tient lieu de serrure pour toute allégation qui bouleverse la vulgate établie et estampillée du sceau de la “normalité”. Prenons le parti inverse ici et sans pour autant gober tout ce qui nous est raconté, essayons simplement de voir si cela fait sens et pourrait construire une histoire qui finalement tient tout autant la route que les contes qui nous sont racontés à la télé. Cela touche à la question épineuse de la politique de l’ontologie et finalement de qui décide de ce qui doit être considéré comme vrai et de ce qui tient de l’affabulation ou qui est tagué conspiration. Nos fabricants de charmes utilisent des techniques de plus en plus sophistiquées pour guider nos pensées sur les chemins par eux décidés mais le propre du libre arbitre n’est-il pas de regarder sur les côtes et de prendre les chemins de traverse lorsque les impasses sont au bout du chemin ? J’ai procédé à une traduction libre ici à laquelle parfois je me suis permise de rajouter quelques éléments :

 

Le Dark Journaliste nous propose un voyage profond dans le SSP, le COG comprenez le Secret Space Program et le Continuity On Government programs et les liens étroits qui les lient au reste, aux décisions politiques, aux black programmes, aux chantages politiques, aux machinations de l’état profond. Ici nous sortons de l’histoire officielle et obtenons de  vraies réponses avec l’ancienne ministre du logement Catherine Austin Fitts, le Docteur Joseph Farrell diplômé d’Oxford et le professeur de l’université de Berkeley, le professeur Peter Dale Scott, et nous établissons les connexions entre le SSP et le COG qui fournissent les clés de près de 70 ans de dissimulation et de financements occultes qui donnent le ton du vivre au XXIième siècle et des crises majeures que nous voyons dans le monde aujourd’hui.  Le progrès de l’économie globale et les nombreux progrès qui peuvent être faits ici sur Terre reposent sur notre capacité à savoir ce qu’il se passe réellement dans l’espace et pourquoi cela a été gardé en grande partie secret pendant plus de 70 ans. Qui est vraiment aux commandes sur Terre ? Essayons de le découvrir.

“J’ai parfois penser combien nos différences partout sur Terre pourraient s’effacer si nous devions faire face à une menace extraterrestre provenant hors de ce monde”. Cette petite phrase n’a pas été prononcée par un citoyen lambda lors d’une discussion de comptoir mais par le président de la nation la plus puissante de la planète dans une allocution solennelle à l’ONU. Lorsque l’on sait que ces discours sont préparés à l’avance et que chaque phrase a été ciselée par un assistant présidentiel, je m’étonne que ce point n’ait pas fait l’objet de plus de commentaires ! D’où vient le SSP et pourquoi il est important ? En fait le SSP est une invention concomitante du National Security Act qui est quelque chose qui s’est produit en 1947 (Roswell!) et qui donna quelques temps plus tard le développement de l’agence centrale de renseignements (CIA). Ce qu’ils firent à l’époque, c’est de créer un boulevard budgétaire qu’ils pourraient attribuer sans que le public soit au courant, et ce boulevard budgétaire est devenu les budgets des programmes secrets et la plupart de ces programmes spatiaux qui ne sont pas dans le domaine public proviennent de ces budgets occultes. Plus il y en avait et plus le mur du secret s’est développé. Si l’on fait un retour sur les années 1950, j’ai fait une série d’interviews avec le professeur Peter Dale Scott à Berkeley et il est celui qui inventa le terme “d’état profond” qui grosso modo définit un état séparé qui opère en dessous du gouvernement et qui contrôle les véritables leviers du pouvoir, et une bonne partie de cet état profond est contrôlée par les intérêts de Wall Street, la communauté du renseignement et le département de la défense. Pour les connaître nous devons connaître leurs ambitions, quelles sont-elles ? Dans les années 50, ce qu’ils ont développé est un outil pour le programme spatial secret qui fut quelque part appelé Continuity Government Operations. Il bénéficia d’un financement de millions de dollars et c’était un programme gigantesque pour construire des bases souterraines afin de survivre à un holocauste nucléaire avec les russes à cette période. A cette époque, ils avaient un tel niveau de secret qu’ils pouvaient orienter n’importe quel financement et différents types de structures de renseignement dans cette structure de gouvernement de continuité et ces bases secrètes souterraines furent finalement une sorte de méta gouvernement qui dirigeait tout ce que l’on voyait à la surface [0]. Et en fait nous vîmes un peu plus tard que ce gouvernement de l’ombre pouvait prendre la main sur celui du dessus, et cela devint un des buts. Une autre chose intéressante à propos du CoG et les joueurs à l’intérieur de celui-ci, c’est que les joueurs se montraient dans ce que le professeur Scott appelle les évènements profonds (black Swan) et ces évènements majeurs sont ceux qui provoquent des changements politiques profonds, aussi vous pouvez imaginer tout ce que vous voulez du 11 Septembre au coup d’état financier de 2008 où l’on transforma la dette privé en dette publique, le contrat avec l’Iran, le Watergate avec Deep Throat ou l’assassinat de Kennedy.  Vous ne pouvez comprendre le Secret Space Program sans les bases souterraines du CoG qui furent construites. En fait, il s’agit d’un second gouvernement. Ce que nous devons nous souvenir, c’est que le président Kennedy fut un membre du congrès à la fin des années 40 lorsque le National Security State et le National Security Act furent mis en place et il avait des amis proches comme James Forrestal. Ils étaient tous les deux catholiques et Forrestal fut le premier secrétaire de la défense sous Harry Truman et apparemment, Forrestal devint fou et il sauta par une fenêtre. Nous pensons qu’il a été bien aidé car il avait été très près des dossiers OVNIs. Une chose semble sure, c’est que ce qu’il a pu connaître, il l’a partagé avec son ami proche, Kennedy. Lorsque Forrestal obtint beaucoup d’informations à propos de ces crashes, nous avons trouvé qu’il y a vraiment des rapports d’un organisme appelé le groupe planétaire (le groupe des phénomènes interplanétaires )  et ces rapports montrèrent que le président Kennedy était briefé en tant que membre de l’équipe de sécurité nationale au congrès sur ces crashes qui arrivèrent après une vague d’observations et, Kennedy selon Jim Marrs, était au courant de la question des OVNIs dès 1947.

 

En 1947, ils publièrent un rapport sur le crash de Roswell et il est très spécifique et très précis. Ils parlent de deux zones différentes d’atterrissage, LZ1, LZ2, ils évoquèrent des corps multiples trouvés, ils racontèrent tout, donnant les noms, les lieux, les dates, etc. A la fin de ce rapport, il était mentionné que quelques membres du congrès avaient la connaissance de ceci et en particulier John F Kennedy du Massachusetts. Kennedy était le commandant de PT-109 qui fut coulé par les japonais.

Ils mirent en place une structure secondaire et ce sont les racines du SSP. Mais quelqu’un comme Kennedy en était très informé car il avait été proche de Forrestal et avait été briefé sur les crashes dès 1947. Aussi lorsque Kennedy est entré à la maison blanche en 1960, c’était quelqu’un qui était très au fait de ce qui se passait dans l’état profond. Un des problèmes importants qu’il eut avec l’état profond fut à propos du partage des données sur les OVNIs dont il disposait avec l’Union Soviétique à ce moment-là.  La CIA ne voulait pas partager avec les russes, ils prétextaient que les secrets de la sécurité nationale étaient trop importants. Mais Kennedy voulait réduire la tension nucléaire et il voulait lancer une course vers l’espace commune avec les russes qui réduirait la tension nucléaire et il considérait le facteur OVNI comme très important car que se se passerait-il ,  si on voyait un de ces vaisseaux au-dessus des bases nucléaires et si nous avions un incident nucléaire? Nous avons besoin d’échanger ce type de renseignement avec eux. Lorsque nous regardons cette période et ce qui fut accompli, Kennedy les amena jusqu’au bord et Kennedy était certainement beaucoup plus ouvert sur la question extraterrestre en général. Lorsque Kennedy fut assassiné, les programmes devinrent encore plus secrets.

 

J’ai interviewé une personne appelée Douglas Caddy et Caddy fut le juriste du Watergate. Et Caddy évoqua lors de sa première interview, sa relation d’amitié proche avec E. Howard Hunt qui fut un des acteurs majeurs de la CIA, et il fut envoyé en prison pour son rôle dans les malversations du Watergate. Eh bien Caddy me dit, et c’était en 2015, qu’il rencontra son bon ami Hunt juste avant qu’il aille en prison, et il lui demanda qu’est ce qu’il faisait là pour entrer par effraction et trouver ces fichiers, et Hunt lui répondit que la raison était de trouver ces dossiers sur l’assassinat de Kennedy à travers le renseignement cubain, ce qui pourrait être lié à ce programme où la CIA participa, pour tuer Fidel Castro, et quelques-uns de ces acteurs qui furent utilisés dans l’assassinat de Kennedy.

Quel était le secret le plus important de la national security pour lequel la CIA était inquiète et que Kennedy allait révéler ?

Nous pensons qu’il y avait au comité national démocratique des rapports d’espionnage et des rapports cubains sur l’assassinat de Kennedy et ceci vint de nulle part pour moi. Et je demandais pourquoi Kennedy fut assassiné ? Et il répondit, Kennedy fut assassiné car il était prêt à révéler les secrets les plus secrets aux soviétiques. Et je lui ai demandé : Qu’est ce que cela pourrait-être ? Et il répondit, la présence extraterrestre.

 

Ceci est particulièrement intéressant car cela prouve qu’elle valeur ils accordent à ce sujet.

 

Nous avançons dans les années soixante et voyons le développement du programme spatial, nous sommes allés sur la Lune en 1969 mais il y a beaucoup de questions à ce sujet et il y a cette histoire bidon que nous ne serions pas allés sur la Lune. Et ce qu’il y a c’est qu’il y a beaucoup d’anomalies à ce sujet, une partie des technologies a commencé à devenir occulte et l’on n’a pas voulu révéler comment on est allé là-bas et revenu, et l’on ne veut pas révéler ce que l’on a trouvé une fois là-bas et c’est toute une autre histoire et c’est plutôt fascinant. Alors le programme secret spatial est devenu encore plus occulte, et nous arrivons aux années 1970 et tous les financements pour le programme spatial se sont arrêtés. Ils firent des choses comme Voyager et d’autres trucs mais les missions habitées qui étaient supposées nous amener sur Mars, toutes ces colonies et le reste, etc. sont des choses du passé, et des raisons budgétaires furent évoquées mais l’argent avait déjà été alloué et dans beaucoup de cas les vaisseaux et les fusées étaient déjà construits, et donc ce n’était pas quelque chose de légitime ce qu’il s’est passé.

Dans la culture de la fin des années 1970, vous voyez une énorme renaissance des idées sur les OVNIs comme les rencontres rapprochées et même le président Carter avoua qu’il avait été témoin d’un phénomène OVNI majeur. Aussi nous apercevons une situation très intéressante lorsque l’on arrive dans les années 1980 avec Ronald Reagan et ce qu’il fit est, de façon soudaine, relié à ce concept global de militarisation de l’espace. Donc cette idée qui venait de la fin des années 1970, des ETs amicaux et sur le mystère des OVNIs se transforma soudain en “nous devons armer l’espace parce qu’il y a un ennemi et, ostensiblement, l’ennemi qui fut visé fut d’abord la Russie [-1] à ce moment-là.  Nous verrons, alors que nous irons plus en profondeur ici, que les étranges commentaires que Reagan fit en des lieux comme l’ONU par exemple sont étayés. Vous savez, il parle d’une menace extraterrestre et mêmes ses assistants se demandèrent pourquoi il parlait de cela, même symboliquement, cela le rendait ridicule comme “Qu’est-ce qu’il se passe ici?” . Et il est apparu récemment que Gorbatchev lors d’une émission à New York (et ceci est enregistré et ce n’est pas juste du bouche à oreille, il y a une vidéo disponible) Gorbatchev dit que durant le sommet de Reykjavik[1][2] que Reagan le prit à part et lui dit: “Regardez, j’ai besoin de savoir si vous vous joignez à nous pour combattre une menace extraterrestre si elle arrive, que vous soyez avec nous, et Gorbatchev fut complètement surpris par la question mais il dit que Reagan était vraiment sérieux et ne plaisantait pas et dans la salle lorsqu’il dit cela, Gorbatchev l’admet des années plus tard, il y avait des gens comme Kissinger, Charlie Rose et le reste et si vous regardez cet enregistrement vidéo, vous trouverez qu’il y a d’étranges visages avant qu’il y ait la rupture et les rires.

C’est ici en 18.58 avec le panorama de l’assistance.

Pas vraiment envie de rire.Pas vraiment envie de rire.

Pas vraiment envie de rire.

« Le président Reagan me dit soudainement, oh what would you do si les Etats-Unis étaient attaquées par quelqu’un de l’espace extérieur, vous nous aideriez ? J’ai dit oui, sans aucun doute. »

 

Bon, Reagan avait des rapports sur ce qui se trouvait dans l’espace et il décida que la façon de gérer cela était de créer ce programme d’initiative stratégique. Le programme SDI[5] consistait à faire exploser un missile depuis l’espace mais il y avait deux versions de ce qu’il était capable de faire. Il contrôlait les choses sur Terre mais aussi l’espace extérieur. En fait il observait les civilisations extérieures, les vaisseaux qui opéraient et ils avaient certainement leur propre connaissance de la présence extraterrestre depuis de nombreuses années, mais comme la technologie avance, ils avaient de plus en plus d’observations en dehors et voyaient les opérations en cours et ils décidèrent d’être eux-mêmes des acteurs.

 

Maintenant, la militarisation de l’espace est interdite par des traités depuis 1968, des traités internationaux que les Etats Unis ont signés, et donc tout ce qui est fait dans l’espace pour développer un programme spatial pour superviser ces choses est actuellement illégal. De nouveau, le facteur du secret devint majeur et lorsqu’ils montrèrent ces choses à Reagan, soudainement le contrat de financement avec l’Iran apparut et toutes ces histoires arrivèrent et toutes les fraudes firent surface. Et il y a beaucoup d’argent du gouvernement qui manque et toutes ces choses continuent et de nouveau nous voyons les acteurs du gouvernement de continuité apparaître, des gens comme Oliver North qui est un acteur majeur du gouvernement de continuité, Donald Rumsfeld, Dick Cheney. Ces gens apparurent de nouveau pendant les années 1980, pendant ces scandales,  lorsque l’argent disparaissait et ostensiblement, c’est parce qu’ils étaient impliqués dans ces programmes, mais vraiment ce que cela signifiait, c’est qu’ils représentaient les intérêts de l’état profond dans cela et qu’ils essayaient d’étouffer ce à quoi l’argent était réellement destiné, qui était les investissements secrets dans l’espace. Aussi nous voyons que ces acteurs du CoG ont un rôle en contrôlant le développement de ces programmes, la période Reagan est la plaque tournante à la fois du CoG et du SSP. Le CoG offrant  la garantie du mur du secret resterait en place quel que soit les menaces auxquelles pourraient faire face les US, pas seulement la guerre nucléaire, c’est une distinction importante, la planification du CoG était en train de se déplacer dans l’espace sous prétexte de l’initiative de défense stratégique mais en fait la menace imminente pour laquelle ils étaient occupés était, comme Reagan le suggérait dans le fameux discours de l’ONU, une menace extraterrestre:

“J’ai parfois penser combien nos différences partout sur Terre pourraient s’effacer si nous devions faire face à une menace extraterrestre provenant hors de ce monde et je vous le demande déjà, n’y a-t-il pas déjà parmi nous une force extraterrestre ?”.

 

Il est intéressant de jeter un coup d’œil aux acteurs du CoG parce que ce type d’acteurs et les canaux auxquels ils sont associés se montrent encore et encore dans ces évènements majeurs, mais je les trouve aussi encore et encore autour du programme spatial secret aussi nous allons nous intéresser à eux. Une chose que je veux faire remarquer alors que nous passons en revue chronologiquement ces évènements, c’est quelque chose qui est arrivée dans les années 1990s et qui mérite un arrêt sur image. C’est un groupe à l’intérieur de l’état profond qui souhaitait un début de révélation autour des OVNIs et nous avons vu des choses comme des conférences sur la révélation comme étant le point culminant, mais nous avions aussi des gens en dehors comme John Mack qui était un professeur à Harvard et vous savez, il prit vraiment le sujet des abductions très sérieusement et s’exposa à des insultes, par exemple, il apparut dans Time magazine comme, vous savez le fou de l’année, et des choses comme cela. Ils le trainèrent vraiment dans la boue, mais la chose intéressante qu’il obtint fut qu’il y avait un nombre de gens qualifiés, des gens avec des références, au parcours complets qui apparaissaient autour de ce sujet des OVNIs et c’était un effort parmi tout ce qui arrivait dans les années 1990s. Vous aviez des choses comme les Xfiles et vous aviez ces films et toute la culture qui embrayaient pour une reconnaissance réelle du sujet des OVNIs. Et puis vous avez eu un incident qui était les lumières de Phoenix  qui se produisit alors à la fin de l’année 1997 ou au début de 1997, et ceci de nouveau était quelque chose que vous ne voyez pas très souvent.  C’était comme un scénario de film car c’était un vaisseau survolant une ville importante et il semblait plutôt bien conçu car à ce moment-là, toute la ville était à la recherche d’une comète. Aussi, j’ai toujours pensé que les lumières de Phoenix était une sorte d’incident organisé parce que vous savez que vous avez beaucoup de gens au-dehors, regardant le ciel, et vous leurs donnez à voir ces vaisseaux au-dessus d’une grande ville et vous allez avoir un test très intéressant, d’une façon ou d’une autre, si vous êtes un gouvernement secret produisant de la technologie massive et des vaisseaux avancés ou si vous êtes une civilisation d’un autre monde  et vous voulez voir comment ce public réagira.

Aussi on observait le développement de la conscience et ces gens et leurs émissions comme Coast to Coast et de façon soudaine il y avait une grande attention portée autour de tout cela et puis le 11 Septembre se produisit et l’on jeta un coup de marteau et tout, de nouveau, devint occulte. Le sujet des OVNIs fut de nouveau enterré profondément et il ne fut pas célébré dans la culture à ce moment-là, et tout fut lié à cette chose de la terreur et une période de très basse énergie où nos pensées furent réduites au terrorisme et les choses liées, et les guerres et tout le reste. Mais de façon intéressante, les gens qui apparurent sur la scène autour du 11 Septembre sont des gens comme Cheney et Rumsfeld [3]  qui furent associés à ce groupe de gouvernement de continuité dans les années 1980s et une des choses que le professeur Scott note à propos de Rumsfeld est qu’il était vraiment le CEO d’une compagnie chimique à un moment où il n’avait pas même un rôle dans le gouvernement, malgré son statut d’ancien ministre de la défense.  Rumsfeld devint le plus jeune ministre de la défense et il revint aux affaires quelques trente ans plus tard comme ministre de la défense de nouveau. C’est vraiment un personnage inhabituel qui est représentatif de l’état profond, mais à l’époque où il travaillait sur ce plan de gouvernement de continuité, Cheney et Rumsfeld changèrent le plan afin non plus seulement afin de survivre à un holocauste nucléaire mais de survivre à toute menace, c’est un changement plutôt intéressant et un des programmes sur lequel ils travaillaient était un programme pour rassembler les citoyens dans le cas d’une urgence et ce programme était appelé Rex 84.  Cheney et Oliver North y travaillaient dans les années 1980 mais ces programmes devinrent des héritages de ce que le gouvernement obtint lors du 11 Septembre parce qu’ils avaient ces programmes en place, ils étaient déjà prêts. Aussi une chose importante à noter est lorsque nous avons ces évènements profonds et que nous voyons ces gens du gouvernement de continuité qui se montrent encore et toujours, nous devons commencer à nous demander qu’est-ce que signifie ce groupe de gouvernement de continuité et quel est leur rôle en relation avec le programme spatial secret. 

 

Donc, nous sommes arrivés à cette période où il y a eu une fissure dans le secret de la sécurité nationale de l’état et c’est le cas de Gary Mc Kinnon où vous savez, c’était un hacker de la NASA qui pénétra les ordinateurs de la NASA. Il montra vraiment qu’il y avait une liste des officiers opérant en dehors de la Terre et cette idée qu’il y avait un groupe qui était constitué et qui n’étaient pas des astronautes mais étaient des officiers opérant hors de la Terre comme l’Air Force ou la Marine suscita l’intérêt. Et finalement, le programme secret américain, après toutes ces rumeurs et éléments qui avaient persisté pendant des années, trouvait une sorte de consécration ou ce gars a vraiment jeté un coup d’œil sur la liste des gens qui vont là-bas et toutes les raisons pour lesquelles le programme spatial secret existait en première instance. Nous vîmes qu’il y avait une série de lanceurs d’alerte qui vinrent des programmes qui étaient autour en cette période et un peu plus tard comme les projets Camelot. Il y avait ces gens qui disaient qu’ils faisaient partie de ces programmes et alors une des choses que j’ai notées, lorsque vous regardez les enregistrements, c’est que cette idée d’une liste d’officiers opérant en dehors de la Terre conduit les gens vers une série de champs différents.  Comme le docteur Joseph Farrell d’Oxford, l’ancienne ministre du logement Catherine Austin Fitts avec une expérience du gouvernement, des personnes érudites rassemblent ces données autour du programme spatial secret. Une des choses que Catherine Fitts fit justement, je pense, à partir de sa connaissance de Wall Street et du gouvernement, en ayant fait partie des administrations Bush et Clinton avant qu’elle ne les laisse tous les deux et qu’ils lui fassent un procès et tout le reste ; était qu’elle avait étudié les allocations budgétaires et qu’elle avait noté qu’il y avait une série de changements non révélés et non ajustés dans leurs documents qu’ils fournissaient pour justifier l’argent manquant. Chaque agence importante était passé en revue mais celles qu’elle inclua dans ses propres rapports étaient la NASA, le département de la défense et le HUD où elle avait été ministre assistante et qu’elle connaissait très bien. Les autres choses qu’elle nota lorsqu’elle était au gouvernement est que les sous-traitants du complexe, comme Boeing, contrôlaient les bases de données de ces agences et donc c’était très difficile de rassembler des données et de faire des comparaisons. Elle remarqua les dires fameux de Rumsfeld qu’il manquait au budget du département de la défense près de 2 300 milliards de dollars juste avant le 11 Septembre. Eh bien sa propre analyse sur le département de la défense est sortie récemment et il apparait que les estimations récentes parlent plutôt de 7 500 milliards de dollars! Lorsque vous regardez des chiffres comme cela, comment pouvez-vous réconcilier 7 500 milliards de dollars, ce n’est pas facile et sa propre estimation est montée à plus de 40 000 milliards de dollars manquant au budget fédéral et avec 40 000 milliards de dollars vous pouvez acheter un programme spatial secret très dynamique dans l’espace et très développé.  

Si l’on regarde le budget de la NASA actuel il est plutôt faible et bien en dessous de celui des années qui nous conduisirent vers la Lune, alors où va tout cet argent ? En fait le développement dans l’espace que nous voyons, c’est la privatisation de l’espace. Vous avez des compagnies comme Bigelow Aerospace et Space X et ils envoient des fusées là-haut et l’idée est qu’ils vont faire du tourisme spatial. Il y a une série d’opportunité économique qui sont disponibles et ils appellent cela l’économie de l’espace. C’est quelque chose que nous devons surveiller de près car c’est où le futur est en train d’aller, où ils mettent leur argent.

A suivre selon les prochains épisodes.

 

II Drôle de monde!

A l’écoute de Ronald Bernard, j’ai comme l’impression d’entendre ces notes de musique lancinantes du dernier film de Standley Kubrick “Eyes Wide Shut” et de ces cœurs méphistophéliques qui embarquent le spectateur dans l’horreur.

Eyes wide shutEyes wide shut

Eyes wide shut

L’interview de Ronald Bernard est poignante. Certains jetterons l’anathème, en invoquant le conspirationnisme, mais les mots prononcés dans une langue étrangères transpercent le voile surtout lorsqu’ils sont accompagnés de cet espace de vie qui transcende le paraître pour percuter au cœur de l’être. Impact et contact où les protocoles volent en éclat, le voile se déchire et le charme ne semble plus faire d’effet.  On évoque ici des sujets tabous, un milieu et des êtres qui expriment un mépris à la fois total et phénoménal de la vie doublé d’un culte de l’entropie. On comprend que l’on navigue ici dans les “ténèbres”, on songe à Dante et à ce fameux chant XXXIII ième de l’enfer consacré aux traitres envers leur patrie (ici la Terre) qui sont déjà descendus en enfer et dont le corps reste sur la Terre gouverné par un démon, en fait des sortes de portails organiques humains. Et l’on peut sincèrement se demander (en accordant à Ronald un minimum de confiance que peut exprimer une âme profondément atteinte dans son for intérieur par un mode d’être incompatible avec l’esprit de la vie(cf.vidéo25.05)) comment l’humanité, la multitude, va-t-elle supporter encore longtemps une pareille ignominie et un tel viol de son âme collective et de son lieu de vie[-2] ?

Ces sujets sont tabous, dérangent au plus au point et l’on peut se demander si l’évocation des protocoles dans cette affaire ne tient pas lieu de “sécurité” pour Ronald, le cataloguant de facto dans la lunatic fringe et toutes ses extravagances. Mais le récit demeure et s’il faut évoquer les protocoles, je vous invite à faire un détour par le roman d’Umberto Eco “Le cimetière de Prague”.

 

III Où se trouve la lumière ? Ici-bas, en soi ?

Dans ce grand déballage de l’horreur, on peut se demander si tout cela est bien réel tellement cela heurte un être conscient dont le moteur est la vie. L'être[-3] conscient parvenu à la réalisation de certains états spirituels intérieurs, en vertu de la correspondance analogique entre le " Microcosme " et le " Macrocosme ", ne pourrait-il pas produire extérieurement des effets correspondants? Ceux qui posséderaient de tels pouvoirs n' en feraient généralement aucun usage, du moins en dehors de certaines circonstances très particulières ou leur exercice se trouverait légitimé par d' autres considérations.

L'être conscient ne peut trouver qu' en lui-même les principes et les moyens de cette réalisation, et il le peut, parce qu' il porte en lui la correspondance parfaite de tout ce qui existe. L' être conscient est un symbole de l' existence, un porte-parole de la vie, un ambassadeur du cosmos!

 

L’exemple humain:

L'univers inside and outside and the other way around!
L'univers inside and outside and the other way around!

L'univers inside and outside and the other way around!

Penser nature et société selon un même mode dynamique : la philosophie de la révolution. « Une révolution est un phénomène purement naturel qui obéit davantage à des lois physiques qu’aux règles qui déterminent en temps ordinaire l’évolution de la société. Ou plutôt, ces règles prennent dans la révolution un caractère qui les rapproche beaucoup plus des lois de la physique, la force matérielle de la nécessité se manifeste avec plus de violence. » Friedrich Engels

IV Cas pratique, observer le passé pour préparer l’avenir.

Parfois Dame Béatrice vient visiter les âmes perdues…et montre le chemin sous les traits de la Sainte Vierge. Il ne s’agit pas ici d’évoquer une quelconque bondieuserie favorisant telle religion plutôt qu’une autre mais bien plutôt de noter l’irruption du contact dans les périodes troubles et ce que ces phénomènes qui s’invitent dans notre quotidien nous disent. Ils ont souvent accompagné l’humanité dans des périodes troubles ou sur des questions de fond comme par exemple l’apparition de la vierge de Guadalupe à l’indien Juanito, au moment où l’occident s’interrogeait sur la nature des indiens. Etaient-ils des hommes dotés d’une âme ou des bêtes?

Ici et en rapport avec notre sujet, je ferai référence à l’apparition à Pontmain le 17 janvier 1871 de la vierge aux étoiles. Alors que la France est « labourée » par la guerre, Eugène, âgé de 11 ans, voit apparaître au-dessus du toit d’une maison voisine, une « Belle Dame » à la robe bleue parsemée d’étoiles et portant sur un voile noir une couronne d’or à liseré rouge. Bras abaissés, elle ouvre les mains dans un geste d’accueil.

 

[-3]

En italique, texte de Daniel Robin modifié par les soins.

 

[-2]

[-1] Et dans d’autres pays, un SSP  aussi ? La Russie ?

Andreï Sakharov – Mémoires Editions Seuil page 200-201

Alors que nous étions déjà sur le polygone au Kazakhstan, nous pûmes voir, en même temps que les films des expériences atomiques précédentes, plusieurs films secrets concernant d’autres domaines de la technologie militaire. Certains épisodes produisaient une forte impression…Après notre retour, Malychev organisa bientôt pour nous une série d’ « excursions », dont une usine produisant des fusées. Jusqu’à présent, nous avions cru travailler sur un grand pied, mais ce que nous vîmes était bien plus impressionnant. Ce qui sautait au yeux, c’était une immense culture technique, le travail coordonné de centaines de personnes hautement qualifiées et leur attitude quasi blasée mais très pragmatique à l’égard des choses fantastiques auxquelles ils avaient affaire.

 

[0] Voir le livre de  John E.Brandenburg écrit sous un pseudonyme, « Morningstar Pass, The Collapse of the UFO Coverup ». C’est une fiction, une dystopie mais elle illustre à la perfection cette question du CoG et vu le profil de John, on peut supposer qu’il s’est probablement un peu inspiré de ce qu’il a vécu. L’univers dépeint dans ce bouquin est riche avec notamment une multitude de races extraterrestres qui ont chacune un agenda particulier dont certains ne sont pas forcément favorables à l’humanité. On est très loin d’une lecture bien/mal, c’est plutôt une approche à partir «d’ une éthique sensitive » qui est développée, une éthique dont on peut trouver les prémisses dans les écrits de Rousseau mais surtout  Spinoza. Dans le même ordre d’idée, on pourra lire avec intérêt le livre d’Hubert de Luze « Ethnométodologie morale et grammaires génératives des mœurs ».

 

[1]

https://en.wikipedia.org/wiki/Reykjav%C3%ADk_Summit

[2] Des années cruciales où, nous ne le savons pas forcément, nous sommes passés très près du conflit généralisé suite à quelques near miss nucléaires que, peut-être, les historiens du futur nous révèleront. En attendant et pour se plonger dans l’esprit de l’époque, un document intéressant émanant du Sénat.

https://www.senat.fr/rap/1987-1988/i1987_1988_0277.pdf

P 58-59

« L' ensemble des forces politiques qui détiennent les pouvoirs en Europe semblent maintenir que la sécurité ne peut exister que dès que l' on est assuré d' une supériorité militaire sur l'adversaire potentiel . Et pourtant , c' est cette philosophie de la supériorité militaire qui a conduit le monde , d' équilibres en déséquilibres et en mesures de rattrapage , à la situation actuelle de surarmement porteuse des plus grands dangers pour la paix , non pas à la sécurité de nos pays, mais à la menace d' un conflit nucléaire qui détruirait l' humanité , et si rien ne venait détourner les perspectives tracées par M. Reagan , à la militarisation de l' espace , avec des moyens pires encore.”

P 81

“M. Fourré ( Soc. ), intervenant dans le débat , a indiqué que les études menées sur les problèmes de l' espace se heurtent régulièrement à une difficulté majeure , celle de trouver l' information sur les programmes spatiaux militaires existant à travers le monde . il a souligné le caractère indispensable d' une coopération européenne dans le domaine spatial , qui se heurte toutefois à des difficultés financières. Pour lui , enfin , la création d' une agence européenne de satellites européens de contrôle permettant d' intervenir efficacement dans le domaine du désarmement , est souhaitable”

 

[3] Extrait de sous nos yeux- Thierry Meyssan –Collection Résistance.

On pourra dire ce que l’on veut de Thierry Meyssan, le taguer conspirationniste, etc. mais force est de constater qu’il apporte un éclairage nouveau sur notre actualité et donne des pistes qui méritent d’être considérées. Ici notamment, on trouve dans son dernier livre à la page 158 dans le paragraphe “Le basculement du 11 septembre” un passage qui fait écho aux dires du Dark Journalist. Je cite:

 

Tout le monde pense connaître le 11-Septembre et cite de mémoire les avions percutant les Twin Towers et la destruction d’une partie du Pentagone. Mais derrière ces événements et l’interprétation qui en a été donnée par l’administration Bush, c’est tout autre chose qui a eu lieu.

Alors que deux avions venaient de percuter le World Trade Center, que les bureaux du Vice-président étaient ravagés par les flammes, et que deux explosions étaient entendues au Pentagone, le coordinateur national de la lutte antiterroriste, Richard Clarke, lançait la procédure de “Continuité du gouvernement” (CoG). Conçue durant la Guerre froide, en cas d’affrontement nucléaire et de décapitation des centres du Pouvoir exécutif et législatif, elle prévoit de sauver le pays en confiant toutes les responsabilités à une autorité provisoire secrètement désignée au préalable.

Or, ce jour-là, aucun des dirigeants élus n’était mort.

Pour autant à 10 h ce matin, George W.Bush n’était plus Président des Etats-Unis. Le pouvoir exécutif était transféré de la Maison Blanche à Washington au site “R”, le bunker de Raven Rock Mountain. Des unités de l’armée et du Secret Service circulaient dans la capitale pour “protéger” les membres du Congrès et leurs équipes. Presque tous furent conduits, “pour leur sécurité”, dans un autre megabunker proche de la capitale.

Le gouvernement alternatif dont la composition n’avait pas variée depuis au moins neuf ans comprenait, ô miracle, plusieurs personnalités, depuis très longtemps en politique, dont le Vice-Président Dick Cheney, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld et l’ancien directeur de la CIA, James Woolsey.

….

En fin d’après-midi, le gouvernement provisoire restituait le pouvoir exécutif au Président Bush, qui prononça une allocution télévisée, et les parlementaires étaient libérés.

Il s’agit là de faits établis et non de la narration farfelue qu’en fit l’administration Bush avec des kamikazes ourdissant un complot depuis une grotte afghane pour attaquer la première puissance militaire du monde.

 

Dans un ouvrage publié 30 ans plus tôt et qui était devenu le livre de chevet des Républicains durant la campagne électorale de 2000, Coup d’Etat: A Practical Handbook (Manuel pratique du coup d’Etat), l’historien Edward Luttwak expliquait qu’un coup d’Etat est d’autant plus réussi que personne ne se rend compte qu’il a eu lieu, et donc ne s’y oppose. Il aurait également dû préciser que pour que le gouvernement légal obéisse aux comploteurs, il faut non seulement donner l’illusion de maintenir la même équipe au “Pouvoir”, mais il faut aussi que les comploteurs en fassent partie.

 

Les décisions imposées par le gouvernement provisoire, ce 11 Septembre, furent avalisées par le Président Bush durant les jours suivants. Au plan intérieur, la Bill of Rights (Charte des Droits), c’est-à-dire les dix premiers amendements de la Constitution, furent suspendus par l’USA Patriot Act pour toutes les affaires de terrorisme. Au plan extérieur, des changements de régime et des guerres  furent planifiés pour entraver le développement de la Chine et prendre le contrôle des réserves d’hydrocarbures du Moyen-Orient élargi.

 

Le Président Bush rendit les islamistes responsables des attentats du 11-Septembre et déclara la “guerre au terrorisme”; une expression qui sonne bien, mais n’a aucun sens. En effet, le terrorisme n’est pas une puissance, mais une méthode d’action. En quelques années, attentats, que Washington prétendait combattre, furent multipliés par 20 dans le monde.

Quatre jours plus tard, le Président Bush présidait une invraisemblable réunion à Camp David au cours de laquelle le principe d’une série de guerres pour détruire tous les Etats jusqu’ici non contrôlés du Moyen-Orient élargi fut adopté, ainsi qu’un plan d’assassinats politiques dans le monde entier. Ce projet fut nommé par le directeur de la CIA, George Tenet, la “Matrice de l’attaque mondiale”. Cette réunion fut d’abord évoquée par le Washington Post, puis dénoncée par l’ancien commandant suprême de l’OTAN, le général Wesley Clark.

 

 [5] Voir notamment ici

La spirale à l'oeuvre.

La spirale à l'oeuvre.

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