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8 août 2015 6 08 /08 /août /2015 20:31
Je suis là, dans ton jardin!

Je suis là, dans ton jardin!

Il est parfois des approches paradoxales qui posent question. Aujourd’hui on ne peut que constater l’effervescence qui anime la communauté scientifique pour identifier la vie sur d’autres planètes. On ne peut que se réjouir de la façon dont cette prise de conscience de la vie « ailleurs » est en train de bouleverser, de révolutionner les perspectives, même si pour le moment l’approche reste timide et si l’on conçoit bien les microbes ou bactéries ailleurs, on a un peu de mal à imaginer l’intelligence…Les abrutis du tiers exclus et les champions de la Terre rare n’ont qu’à bien se tenir car le sol de leurs raisonnements « scientifiques » spécieux est en train de foutre le camp pour laisser un trou béant laissant apparaître la prochaine découverte de l’altérité et les yeux pétrifiants d’ET, je parle de façon imagée bien entendu...

Ce qui est plus incompréhensible de la part de cette communauté scientifique et qui d’une certaine façon traduit un blocage culturel, c’est de ne pas considérer la problématique OVNI comme de potentielles visites, des incursions de nos voisins exotiques. Le sujet ne serait pas « scientifique » et ne disposerait pas de preuve formelle (la tyrannie de la preuve) ? Mais ces savants, se sont-ils seulement penchés sur les dossiers innombrables qui peuplent les archives et qui ne laissent aucun doute quant à la matérialité et à la réalité de cette affaire ? Que l’on ne vienne pas me parler du projet blue book et de ces autres outils de désinformation. Une simple démarche citoyenne consistant à rassembler de façon exhaustive ces « accidents sensibles » de la réalité suffit à démontrer le caractère exotique du phénomène et ce ne sont pas les classements fallacieux et bidons dont l’objectif est avant tout de vider ces « accidents sensibles » de leur substance pour mieux les apprivoiser dans une confondante conformité (allitération en con qui sied particulièrement à cette démarche) du tout expliqué de façon « rationnelle » qui permettent d’affirmer le contraire. En fait rien n’est expliqué et ces pantalonnades ne font qu’illustrer la structure des révolutions scientifiques sur laquelle Thomas Kuhn a enquêtée.

Si vous associez l’effervescence qui semble s’emparer des milieux scientifiques dans la recherche de la vie ailleurs (que l’on imagine au mieux bactérienne…) à la cécité qui semble atteindre cette même communauté quant à des accidents sensibles de notre planète qui ressemblent à s’y méprendre aux interférences d’une vie exotique, vous semblez naviguer en plein délires culturels en vous demandant franchement ce que peut bien être cette « science » qui cherche à des années lumières les signes qui lui sont prodigués dans son intimité terrestre…Ici par exemple je fais référence mais il y a bien d’autres sources toutes aussi pertinentes à l’excellent livre de Paul Hill, scientifique de la NASA et consultant pour Mc Donnel Douglas… intitulé « Unconventional Flying Objects- a scientific analysis », la matérialité de ces objets est clairement démontrée au chapitre 1 du bouquin mais à n’en pas douter, nos chantres du rationalisme cartésien trouverons toutes les explications et conjonctions impossibles pour expliquer rationnellement ces évènements…DU CONCENTRE DE FOUTRERIES QU ‘IL FAUT APPUYER AVEC LA METHODE COUE POUR LE STATUFIER EN VERITE ! Le citoyen lambda qui n’aura pas perdu son bon sens fera la différence sans aucun problème et séparera le bon grain de Paul Hill de l’ivraie des sceptiques.

 

Ainsi va le monde dans cette dichotomie absurde et dépassée, le changement de paradigme se propage, bouscule, percute, fracture la société humaine en déclenchant des raz-de-marée dans toutes les sphères du connaître et de ses possibles !

 

« Nous développons une méthode de détection à distance basée sur la polarimétrie pour identifier les formes de vie sur les mondes distants et les distinguer des espèces non biologiques. Pour réaliser cela, nous avons conçu et construit une expérience de laboratoire bio-polarimétrique afin de mesurer les spectres polarisés optiques de plusieurs échantillons biologiques et non biologiques. Ici nous nous intéressons en particulier aux pigments biologiques qui sont communs dans les plantes et les bactéries qui les emploient pour la photosynthèse ou pour la protection contre les espèces réactives à l’oxygène. La photosynthèse qui fournit aux organismes la capacité d’utiliser la lumière comme une source d’énergie, émergea tôt dans l’évolution de la vie sur Terre. La capacité d’abriter une telle ressource énergétique significative pourrait probablement aussi se développer sur des exo planètes habitées. Aussi, nous examinons la détectabilité des biomolécules qui peuvent capturer les photons de longueurs d’onde particulières et qui contribuent à stocker l’énergie dans des liaisons chimiques. Nous avons mené dans nos laboratoires des mesures spectropolarimétriques d’un échantillon représentatif de plantes contenant de nombreuses quantités de pigments telles que la chlorophylle, les caroténoïdes et d’autres. Nous avons aussi mesuré des échantillons variés non biologiques (des pierres, des sables). En utilisant nos mesures de laboratoire, nous avons modélisé les spectres polarisé et l’ intensité de planètes comme la Terre ayant différentes surfaces couvertes par des organismes photosynthétiques, des terres désertiques et des océans ainsi que des nuages. Nos résultats démontrent que les spectres polarisés linéairement fournissent une détection très sensible et plutôt sans ambiguïté des pigments photosynthétiques de plusieurs types. Notre travail marque le chemin vers des mesures analogiques des microorganismes et la détection à distance de l’écologie microbienne sur la Terre et de la vie extraterrestre sur d’autres planètes et d’autres lunes. »

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