22 avril 2006
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"Le bar Pilade était à cette époque le port franc, la taverne galactique où les étrangers d'Ophiuchus, qui assiégeaient
la Terre, se rencontraient sans friction avec les hommes de l'Empire qui patrouillaient dans les ceintures de van Allen." (1)
Je comprends que mon âme n'est pas ce corps et que ce corps n'est pas l'universalité de la vie mais
seulement son expression localisée dans l'instantané qui peut durer des années. Libéré des chaînes de la servitude, je poursuis le chemin du destin, étoile un jour, astéroïde aux alentours,
je poursuis ma destinée à travers les galaxies mu par une seule allégorie, la vie.
C'est un cri de survie!
L'universalité est dans chaque destinée. Alors mettons en marche notre moteur du ressenti pour converger vers plus d'humanité.
Nous sommes tous des sondes sociologiques de la conscience. Aussi nous nous devons de réagir, non pas avec notre influx mais avec notre vécu.
N'attendons pas la fin d'un hypothétique destin pour agir sur notre
avenir.
Nous sommes tous frères dans le plérome.
6 450 000 000 ( d'âmes ) autant d'avatars pour un monde sans fard. Sans retard
éloignons ces mauvais pétards:
Il n'est pas trop tard.
Lumière, illumine les ténèbres !
NB: Te souvient-il de l'adage de Delphes: "Connais-toi toi-même", celui du soufisme dans l'Islam:
"Qui se connaît soi-même, connaît son seigneur", de l'Inde bouddhique: "Oublie-toi toi-même", de la vieille Chine: "Réalise-toi toi-même"?
1: Umberto
Eco: Le pendule de Foucault.