Percutons la barbarie pour la briser à l’infini et la neutraliser dans cette expression de la néguentropie qu’est la vie.
Du mille feuille univers, exprimons l’envers
Et ce qui est caché, il faut l’illuminer
Pour que la vérité s’exprime dans les faits.
C’est le chant de l’ère
Le chandelier de l’inanimé
Aire du révélé
Fugace Abraxax
Qui s’exprime dans l’espace
Formule magique
D’une réalité qui s’agite.
Des mots contre les maux.
Extrait de Univers gémellaires de Jean-Pierre Petit:
Marc Aurèle, Pensées par moi-même pour penser par soi-même.
Un rapide tour d’horizon de la situation du monde passée et présente invite à se poser des questions sur
le/les systèmes qui l’organise (nt). Nous sommes (et pour certains seulement) dans un système « social avancé » appelé démocratie, du moins c’est ce que l’on nous serine à longueur de
journée en nous agitant le chiffon rouge des affreux, des barbares, des fous de dieu, etc qui viendraient mettre en péril notre civilisation modèle. Est-ce si simple? Commençons tout d’abord par
le constat que fait Laura Knight-Jadczyk [1] sur l’état du monde. Peut-on cautionner un système qui chaque 3 mois génère plus de deux millions de morts par une répartition inégale des
richesses (on peut discuter la précision des chiffres mais l’ordre de grandeur est là) sans compter les victimes des guerres diverses et variées ? Il y a manifestement quelque chose qui
cloche.
A l’heure où les prémisses d’une nouvelle guerre mondiale se font chaque jour un peu plus précises, où le totalitarisme rampant s’immisce dans notre quotidien, où la censure et la propagande se
conjuguent avec l’information, il est plus que temps pour le citoyen adepte de la raison d’utiliser les outils que nous ont concoctés nos génies du passé. Il me semble que Jean-Paul Sartre disait
qu’il est des périodes plus favorables que d’autres pour affirmer la liberté. L’époque actuelle nous en donne l’occasion. Si l’homme dispose d’une liberté totale (à condition qu’il s’en
ressouvienne) il a aussi par voie de conséquence, une responsabilité infinie… Contre la barbarie qui chemine et la cruauté qui encercle l’humanité, il convient de se doter des outils qui nous
permettront de lutter efficacement, en comprenant notre condition et en exprimant cette liberté pour construire un monde différent. Chacun est concerné, c’est notre libre arbitre.
I De quels outils disposent-on ? Inventaire non exhaustif.
Il est bizarre que les chercheurs de l’étrange n’aient pas fait plus de rapprochement entre le dossier Ummite, l’œuvre d’Alfred Korzybski et sa démarche, la « sémantique générale ».
Hormis un post trouvésur le forum VERITAS
link
http://www.toutelaverite.com/html/GoogleTap_SG_post_t_811.html
Citation:
Je trouve que les étudiants en UMMO SCIENCE seraient bien
inspirés de faire une petite visite chez M.Korzybski. Le père de la "sémantique générale" a bien pu inspirer fortement les Ummites, qui qu'ils fussent. Ses thèses sont apparues avant les lettres
ummites; les ummites ont en quelque sorte formalisé la logique NON-A reprise par VanVogt avec le succès que l'on sait.
et quelques détracteurs pour déboulonner l’affaire :
http://www.ovni.ch/~kouros/ummo.htm
il n’y a vraiment pas grand chose sur le Web !
http://www.u-sphere.com/index.php?title=Courriers_de_Seth_Brundle_et_Duncan
C’est en relisant en parallèle la lettre de Seth Brundle Fly du 18/03/2001 et le chef d’œuvre du génie méconnu [2] que j’ai senti le lien intime entre cette affaire UMMO et la démarche de
Korzybski. Korzybski serait-il un de ces précurseurs (Science and Sanity a été publié en 1933, les ummites disent avoir pris connaissance de l’activité humaine a partir d’un signal émis par un
chalutier norvégien en 1936 !) qui justement détiendrait les clefs d’un dossier qui lui est postérieur ? Une drôle de pirouette temporelle où l’on peut se demander qui inspire qui dans
cette affaire. En effet, en relisant Seth et quelques lettres ummites, je note :
Citation:
La solution à toutes les énigmes des lettres ummites est en possession de quelques terriens à des échelles d'importance variables , en germe dans la recherche civile en ce qui concerne la
théorie épistémologique unitaire et l'anthropologie sociale, et à des niveaux plus inquiétant dans la recherche militaire et en particulier dans les domaines de l'informatique théorique, des
mathématiques appliquées, des théories psychosociologiques construite autour d'une approche non classique des sciences formelles fondée sur une appréciation paramétrable du comportement humain.
Certains analystes des lettres ont des pistes intéressantes sur des domaines proches ou apparentés mais ne parviennent pas à trouver une composante théorique globale pour comme vous dites faire "
une synthèse interdisciplinaire et fonctionnelle. "
Citation:
C'est une des faillites comportementales que nous avons décelé chez les scientifiques de votre planète, celle d'avoir la prétention d'accéder à la vérité et de construire des discours
totalitaires pour enseigner cette même vérité. Il vous faut substituer à l'accumulation de connaissances qui sont susceptibles d'être modifiée par l'intégration de nouvelles données
phénoménologiques une science des procédures non totalitaire basée sur l'étude empirique et mathématique du "sens commun ".
dans la D118 :
Citation:
Des milliers d'hommes de la Terre se laissent intoxiquer par des superstitions, par des idées pseudo-religieuses, par des mythes irrationnels, fomentés depuis les centres de pouvoir
détenteurs des moyens de diffusion, la dispersion de doctrines absurdes, de conceptions anti-scientifiques de l'univers, de l'occultisme sous toutes ses formes, en faisant taire les rares voix
qui se risquent à dénoncer de telles déformations de la logique, parce que naturellement votre science est encore faiblement développée et se trouve en phase d'accumulation d'erreurs et de
modèles encore insuffisamment aiguisés concernant le comportement de la matière inerte et de la biologie.
Mais que nous dit Korzyski :
Que nous sommes victimes depuis maintenant plus de 2000 ans d’un système de pensée basé sur la logique aristotélicienne, système qui nous induit en erreur dans notre appréhension du monde.
Que ce système nous a formaté, qu’il est tellement imbriqué dans notre construction épistémologique du monde que nous ne nous rendons plus compte des aberrations et des défauts qu’il induit.
Que ce formatage est non seulement logique mais qu’il se traduit aussi physiquement dans le cerveau par des interconnexions neurales des masses cérébrales colloïdales, les idées, memes se
matérialisant physiquement dans notre cortex et pouvant déboucher sur des pathologies et des maladies mentales.
Que la structure des langages est potentiellement connue et que pour avancer nous devons faire coller nos structures verbales (nos théories) avec les structures empiriques (et non le
contraire).
Que la structure et la structure seule est le lien unique entre les langages et le monde empirique. Pour être capable d’appréhender la structure d’un langage, nous devons produire un langage
différent, d’une autre structure dans laquelle la structure du premier peut-être analysée (Russel, Wittgenstein), ce qu’un système non aristotélicien basé sur les relations, l’ordre et la
structure devrait permettre.
Que les mathématiques, dont la structure est similaire à celle des faits et de notre système nerveux [3] , apparaissent comme un langage de la plus haute perfection mais insuffisamment
développé.
« Que la carte n’est pas le territoire » (on structure page 5 qu’elle représente. Cependant, si elle est correcte, elle possède une structure similaire qui la rend utile.
Que les langages sont comme des cartes et que les mots ne sont pas les objets qu’ils représentent.
Que les mots sont des étiquettes et qu’ils ne représentent en aucune façon la réalité mais simplement un niveau d’abstraction, que ces mots peuvent déclencher selon la vie et le parcours de
chacun des réactions bien différentes.
Que la structure du monde est inconnue et que le but de la science et de la connaissance est de la découvrir. Ainsi , toute acquisition véritable de connaissance repose sur une étude des
relations, une recherche des structures.
Que les anciennes théories et méthodes contribuent à produire des abrutis et des personnes démentes, alors que les génies sont apparus malgré ces handicaps et qu’une démarche non aristotélicienne
nous permettrait de vivre dans un monde bien différent.
Qu’il existe deux types d’existence, une existence physique liée à nos sens et nos perceptions et une existence logique et qu’il faudrait privilégier les recherches sur le fondement des
mathématiques, recherches commencées par Brouwer et Weyl [4] (On symbolism page 79 - Brouwer : http://fr.wikipedia.org/wiki/Luitzen_Egbertus_Jan_Brouwer
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or%C3%A8me_de_la_boule_chevelue
Weyl : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hermann_Weyl)
Que cette logique serait reliée aux sons, et que les sons s’associent à des symboles ou des mots valides. [5]
Qu’il nous faut rejeter la « métaphysique » d’Aristote (en fait la structure de la pensée aristotélicienne) au profit de la science moderne et des théories non euclidiennes, non
newtoniennes et en particulier(Lingusitic revision page 92/93) :
-Le postulat de la représentation unique du sujet.
-La logique a deux valeurs, ou logique du tiers exclus.
-Le manque de discrimination entre le verbe « être » de l’identité (qu’il faut rejeter), le « être » de la prédication , le « être » de l’existence et le
« être » utilisé en tant que verbe auxiliaire.
Etc.
Que des comportements colloïdaux s’observent dans les matériaux divisés en très fines parties, ce qui implique des activités de surface et des caractéristiques électriques de ces structures
multiples et diverses. Que tous les processus de la vie, les sentiments, les émotions, les pensées, les réactions sémantiques font appel à des courants électriques. Que les courants électriques
et d’autre forme d’énergie sont susceptibles d’affecter nos structures colloïdales dont dépendent nos caractéristiques physiques (Colloidal behaviour, page 121).
Que la vitesse de notre influx nerveux n’est pas infini (120 m/s) et que cela induit un ordre dans nos
perceptions (On order, page 156)
Que les organismes qui représentent des processus doivent développer un ordre à 4 dimensions (personnellement je mettrai cela en rapport avec la structure à 6 couches du néo cortex [6]
).
Qu’il faut considérer l’organisme comme un tout, que notre système nerveux est stratifié en 4 dimensions dans le temps et l’espace et que certains centres dominant introduisent des interrelations
diverses et prodigieuses, inconnues des systèmes nerveux plus simples (Non-Elementalistic Structures, page 130). La perspective non-Aristotélicienne considère que l'homme constitue un tout
psycho-somatique dans son milieu qui le pénètre et auquel il réagit, qu’il doit aborder des situations globales et qu’il le fait avec la totalité de son individu.
Que dans un système non aristotélicien (aux valeurs infinies, notion de multiordinalité) qui élimine le principe d’identité et qui est basé sur la structure, les fonctions doctrinales sont d’une
importance majeure (les fonctions propositionnelles comme les postulats, théorèmes sont appelées par Keyser des fonctions doctrinales.(On function page 144) [7] .
Qu’à la différence des animaux, chaque génération enrichit et refaçonne un acquis qu'elle transmet à la génération suivante, qui va le modifier et l'accroître à son tour (notion de time biding,
encore faut-il en profiter ! )
Que nous devons développer une attitude non-élémentaliste, effort qui consiste à ne pas isoler les uns des autres des facteurs ou des éléments qui se trouvent reliés les uns aux autres
structurellement.
Que le donné vécu humain exige la présence d'un être humain. Indépendamment de nous, "notre monde", "notre réalité" n'existent pas.
Qu’il existe autant de "mondes" que de structures nerveuses différentes : le monde du crapaud est différent du monde de la mouche, qui est différent du monde de l'oiseau.
Etc.
Korzybski va même jusqu’à expliquer le paradoxe du menteur d’Epiménides le crétois(The mechanism of time-binding, Higher order astractions page 435), paradoxe évoqué dans la note 10.
Un des éléments parmi le plus important du livre est la présentation d’un outil appeler le différentiel structurel, outil pour se former à la sémantique générale. Le différentiel structurel
(Higher order abstractions, page 436) est un modèle à 3 dimensions pour décrire les processus d’abstraction du système nerveux humain. Créé par Alfred Korzybski et faisant l’objet d’un brevet, il
est utilisée pour se former à la sémantique générale. Le système a pour objet de montrer que notre relation, notre connaissance du monde est limitée et parcellaire. Il vise aussi à mettre en
évidence le principe de non identité et de faire la différence entre le niveau objectif, l’indiscible constitué des niveaux d’abstractions primaires (nos sens) et des niveaux d’abstractions
élevés ou verbaux. Ainsi la parabole représente un domaine au-delà de notre observation directe (niveaux sub-microscopiques, moléculaires, atomiques, etc.), ce plan parabolique c’est le monde des
évènements. Le disque représente le monde des objets, le niveau de la perception, de l’expérience inexprimable. Il est à noter que l’objet n’est pas l’évènement et dispose de caractéristiques
différentes (les trous dans la parabole, le disque) qui peuvent être reliées (fils allant d’un trou à l’autre) ou indépendantes (les fils qui pendent).
Les rectangles, les étiquettes, représentent les différents niveaux d’abstraction, les mots, représentations qui disposent de trous correspondant aussi aux caractéristiques attribuées. Un mot est
une représentation mentale aux mêmes titre qu’un nom, qu’une déclaration. Ils sont transformés en son ou en écrit et affectent d’abord les centres nerveux primaires, puis activent, par
abstraction, les centres nerveux évolués.
[1] Un constat
http://www.futurquantique.org/histoire-secrete/180-introduction-a-lhistoire-secrete-du-monde
Citation: |
Les lois de la probabilité nous disent que sans aucune intervention « intelligente », 50% des
événements qui se produisent dans le monde seraient bénéfiques à l’humanité. Dans un sens purement mécanique, la vie dans notre monde aurait alors dû atteindre un certain « équilibre ”.
Une intervention dans des décisions intelligentes de faire le bien devrait faire monter cette moyenne à environ 70%. Cela signifie que l’humanité devrait avoir progressé, au cours des
millénaires, de manière à avoir atteint un stade où des choses « bonnes » ou « positives » se produisent plus fréquemment que des choses « mauvaises » ou « négatives ”. Si cela était le
cas, alors de nombreux problèmes que rencontrent les hommes auraient effectivement été résolus. Les guerres et les conflits seraient devenus une rareté, au moins 70% de la population
terrestre bénéficierait d’une couverture médicale décente, aurait un toit confortable au-dessus de la tête, et assez de nourriture équilibrée pour que la mort par la famine ou la
disette soit pratiquement inconnue. |
[2] Science and Sanity
Science and sanity, an introduction to Non-Aristotelian systems and general semantics, fifth edition.
Encore un Alfred ; une brique de 763 pages parue en 1933 et qui après une guerre mondiale et 75 ans n’a pas pris une ride et se révèle d’une actualité brûlante. Pourquoi faut-il que nous ne retenions de l’histoire que la pire engeance de l’espèce humaine alors que les hommes qui font progresser l’humanité restent confiner dans le no man’s land d’une culture filtrée.. Je n’ai compris qu’en arrivant à la page 548 chapitre XXXI, « concluding remarks » la raison de cet oubli. Korzybski non seulement fait une critique en règle du libéralisme et du consumérisme dont nous voyons tous les jours un peu plus les effets néfastes pour la planète mais il met aussi en parallèle ce que pourrait apporter la sémantique générale pour le bien-être de l’humanité. Un tableau récapitulatif est même donné (page :555/557). Son discours est profondément révolutionnaire et la méthode, si elle était appliquée par chaque être humain rendrait le travail de nos contrôleurs impossibles car les épouvantails (peur, etc) qu’ils nous agitent n’auraient plus d’effet. Les contrôleurs se révèleraient alors dans leur triste nudité (un peu comme dans le film « Invasion Los Angeles de John Carpenter » où le seul fait de mettre des lunettes vous fait découvrir un monde bien différent de la réalité imposée par les journaux télévisés), des psychopathes et des malades qu’il faut soigner…
Il faut noter que les thèses de Korzybski ont été popularisées, mais seulement dans le monde de la science
fiction…, à travers le roman de Van Goth Monde du non A. Les outils et techniques de progrés proposés par Alfred sont donc restés de la pure fiction pour le grand public qui ne connaît d’ailleurs
pas Korzybski, faites l’expérience autour de vous. Une opération de debunking avant l’heure ?
[3] Vous avez dit câblage !
« Ce que l’on ne peut pas dire, il faut le taire ». Je n’avais pas compris cet énoncé, pensant qu’il existait des informations qu’il fallait cacher pour des raisons inconnues et
subtiles. En fait, ne pas s’exprimer relève plutôt d’une sagesse intérieure qui sait qu’exprimer l’indicible par les mots est impossible. Ce n’est que trahison de la réalité car l’exprimé ne peut
en aucun cas révélé le monde du non verbal, l’empire de nos sens. Peut-on vivre une expérience si intense, en comprenant sans les mots, projetant notre conscience dans l’inconnue ? Une voie
d’investigation, la transe et les drogues « chamaniques » type Ayahuasca pour accéder à une « réalité » non ordinaire et par là même découvrir de l’intérieur notre structure
de « groupe » sous-jascente, cette structure de groupe, comme nous le précise le mathématicien Jean-Marie Souriau….
http://www.umpa.ens-lyon.fr/JME/Vol1Num3/SouriauJME3/SouriauJME3.html
Citation: |
J.-M. Souriau C'est ce que j'ai cru pendant bien longtemps. Je partais de ce point de vue,
comme tout le monde. Et puis peu à peu je me suis dit, à force de rencontrer des groupes, il y a quelque chose de caché là-dessous. La catégorie métaphysique des groupes qui plane dans
l'empyrée des mathématiques, que nous découvrons et que nous adorons, elle doit se rattacher à quelque chose de plus proche de nous. En écoutant de nombreux exposés faits par des
neuro-physiologistes, j'ai fini par apprendre le rôle primitif du déplacement des objets. Nous savons manipuler ces déplacements mentalement avec une très grande virtuosité. Ce qui nous
permet de nous manipuler nous-même, de marcher, de courir, de sauter, de nous rattraper quand nous tombons, etc. Ce n'est pas vrai seulement pour nous, c'est vrai aussi pour les singes;
ils sont beaucoup plus adroits que nous pour anticiper les résultats d'un déplacement. Pour certaines opérations élémentaires de «lecture», ils vont même dix fois plus vite que nous.
Beaucoup de neuro-physiologistes pensent qu'il y a une structure spéciale génétiquement inscrite dans le cerveau, le câblage d'un groupe. |
Un autre exemple qui mérite réflexion et analyse : Le serpent cosmique de Jeremy Narby.
On comprend mieux alors l’intérêt des éthnomathématiques et de l’étude des cultures autres que celles de l’occident. Un exemple avec le Tipi et le cône (The Ethnomathematics of the Sioux Tipi and cone, extraits de Mathematics across cultures, the history of non-western mathematics-ISBN 1-4020-0260-2 » où l’on découvre une « logique » aux antipodes de nos « valeurs universelles ».
Citation: |
« We live in square rooms and buildings on square blocks ; we measure things using
square feet or meters, when examining Native American culture, art, and mathematics one comes to see a different pattern. In their language, customs, architecture, religion and
ceremony, it is the circle that is dominant. For the Plains peoples, the circle was imbued with tremendous power and symbolism; it was the symbol of their link with the universe. Native
American mathematics is part of the entirely of the mathematics generated by humanity throughout recorded as well as unrecorded history. Some characteristics of ethomathematics that are
important are: |
[4] Logique intuitionniste
A rapprocher de la logique intuitionniste (http://fr.wikipedia.org/wiki/Logique_intuitionniste
) et des éthnomathématiques
[5] Phonologie et cognition
Une conférence en français sur la phonologie et la cognition de Bernard Laks. On s’intéressera particulièrement aux passages suivants :
26-31’:
Citation: |
Qu’est ce que c’est qu’une écriture: |
43’ :
Citation: |
Le travail cognitif de construction d‘invariants cognitifs. |
http://www.canal-u.fr/producteurs/universite_de_tous_les_savoirs/dossier_programmes/les_conferences_de_l_annee_2000/les_signes_et_le_sens/phonologie_et_cognition
[6]Les 6 couches du néo cortex
http://en.wikipedia.org/wiki/Neocortex
Citation: |
The neocortex (Latin for "new bark" or "new rind") is a part of the brain of mammals. It is the outer layer of the cerebral hemispheres, and made up of six layers, labelled I to VI (with VI being the innermost and I being the outermost). The neocortex is part of the cerebral cortex (along with the archicortex and paleocortex, which are cortical parts of the limbic system). It is involved in higher functions such as sensory perception, generation of motor commands, spatial reasoning, conscious thought and, in humans, language. Other names for the neocortex include neopallium ("new mantel") and isocortex ("equal rind"). |
http://www.studystack.com/studytable-479
[7]Mathématiques
http://www.bgsu.edu/departments/math/Ohio-section/bicen/cjk.html
Citation: |
Throughout his academic career, Dr. Keyser was a prolific writer and lecturer especially in the area of mathematical philosophy. Included among his more than fifty works were titles such as Mathematical Philosophy: A Study of Fate and Freedom (Lectures for the Educated Laymen), The Human Worth of Rigorous Thinking, and Mathematics and the Question of the Cosmic Mind, with Other Essays. James R. Newman, in his classic 1956 four-volume The World of Mathematics, included Cassius J. Keyser’s The Group Concept as one of two articles on group theory. General semantics, the field which examines the foundations of the structures of mathematics and the sciences and attempts to apply these structures to human interactions, was introduced by Alfred Korzybski in 1933 in his Science and Sanity. Korzybski credited C.J. Keyser as having an important influence on both himself and the beginnings of the field of general semantics. In describing game theorist John von Neumann, it has been said that, "He was a living fulfillment of the way of applying the power of abstract axiomatics and formal systems that had been envisioned in the ideals of Cassius Keyser and Alfred North Whitehead." ( Historical Highlights 2) Dr. Keyser’s writings in mathematical philosophy had a definite influence on those who followed him. |
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_North_Whitehead
Citation: |
L'originalité de la pensée de Whitehead vient de ce qu'elle s'inspire des différentes sciences comme les mathématiques (l'idée algébrique de vecteur et de multiplicité), de la physique, de l'éthique, de la théologie et dépasse l'idée de la philosophie divisée en spécialités, logique, épistémologie, philosophie morale, philosophie politique, etc. Sa pensée métaphysique rejoint sur de nombreux points celle des grandes philosophies du XVIIe siècle et renoue aussi avec la philosophie ancienne, celle de Platon et d'Aristote mais aussi celle des Stoïciens dont il retrouve l'inspiration qui unit la logique à la physique et à l'éthique. |
http://www.chromatika.org/
http://www.igpp.de/common/doc/report_2008.pdf
http://www.igpp.de/english/tda/info.htm
http://www.lehigh.edu/~mhb0/interests.html
http://whiteheadsym.cm.umk.pl/2005/index.htm
Union réalisée dans l’adagiO,
Fallacieuse exubérance, toujours le même leitmotiV