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15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 07:34
Peut-être un excès de paranoïa mais parfois je m’interroge sur la concomitance d’évènements qui semblent disjoints mais qui, mis bout à bout, font sens et semblent donner un plan cohérent qui serait celui d’une intervention militaire en Iran et plus généralement le déclenchement d’une sorte de guerre de religion, nouvelle croisade du XXIième siècle.  En ce jour de Marie, cela me parait faire encore plus sens que jamais.

Le climat est drôlement perturbé ces temps ci :

  • La russie subissant une  des plus importantes canicules  de son histoire et empêtrée dans des feux de forêts qui n’en finissent plus.
  • La chine sous les inondations et embourbée jusqu’au coup dans la mousson.
  • Le Pakistan subissant des inondations catastrophiques réclamant l’assistance « humanitaire », les Etats Unis apportant leur aide. Rappelons que ce pays est frontalier avec l’Iran.  Quelle meilleure occasion de déploiement dans un pays où la population est plutôt hostile aux américains!

Une Europe assoupie dans les vacances estivales.

Les polémiques récurrentes sur l’Islam, ses pratiques et son caractère moyenâgeux. Il ne se passe pas une semaine sans nouvelle polémique (minarets, Burka,  implantation d’une mosquée à Ground zéro et la fin du Ramadan le 11/09, etc ). Parfait pour créer le substrat émotionnel nécessaire aux futures propagandes afin d’alimenter les troupes des  « croisés » en chair à canon pour ces nouvelles batailles.

Une crise économique dont on nous dit qu’elle est terminée mais qui en fait devrait se poursuivre avec des développements dramatiques notamment pour les Etats-Unis en cette fin d’année 2010. La guerre comme fuite en avant ?

Dans ce cadre il est intéressant d’écouter l’interview de Paul Craig. Paul Craig Roberts est titulaire d'un doctorat obtenu à l'Université de Virginie, il est diplômé de l'Institut de technologie de Géorgie, de l'Université de Californie (Berkeley) et de l'Université d'Oxford, où il a été membre du Merton College.
Il a été professeur d'économie politique au Center for Strategic and International Studies et reçu la légion d'honneur en France pour son « renouvellement de la science économique et politique après un demi-siècle d'interventionnisme ». 
Au début des années 1980, il est sous-secrétaire au Trésor dans l'administration Reagan, et se fait connaître comme l'un des pères fondateurs de la Reaganomics, notamment par sa contribution à la réforme du « Tax Act » de 1981.

  

http://www.dailymotion.com/video/xdywu3_guerre-a-l-iran-analyse-de-paul-g-r_news#from=embed

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 22:06

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 22:40

 

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A l’heure où l’imposture semble être la nouvelle culture des nains (1) de la forfaiture, bafouant la France et sa mémoire, il est temps d’entonner ce champ de la résistance que constitue ce fabuleux appel qui dépasse l’histoire et s’inscrit dans une lutte pour la liberté, celle de chanter la vie et son corps éthérique, la noosphère. Notre lutte contre la barbarie ne peut être que globale en court-circuitant ces effendis de l’infamie, en développant l’intelligence de la néguentropie,  en percutant la bêtise et l’entropie de cette course au profit. Utopie ? Non un appel à la résistance pour protéger la vie sur ce caillou et présider à une émergence de l’infini. Nous ne sommes pas seuls dans  ce combat !

  

Voilà ce que pourrait être une parole alternative dans la période actuelle. Texte transfiguré d’un général éponyme incarnant la résistance, hexagonale pensée d’un néo cortex à 6 couches. Toute ressemblance où similitude avec le passé est volontaire, nous sommes bien à la croisée des chemins :

 

« Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat. Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mondialiste, terrestre et aérienne, de l'ennemi. Infiniment plus que leur nombre, ce sont l’économie de marché, la télévision, la guerre psychologique des mondialistes qui nous ont fait reculer. Ce sont l’économie de marché, la télévision, la guerre psychologique des mondialistes qui ont séduit nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui. Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non ! Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France (et pour la Terre). Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire. Car la France (et la Terre) n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a une vaste armada avec elle. Elle peut faire bloc avec le monde non aligné qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme ce monde libre, utiliser sans limites l'immense capacité de ces cerveaux. Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale et universelle. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force psychologique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force spirituelle supérieure. Le destin du monde est là. Moi, X (qu’importe mon nom), actuellement à Y (qu’importe le lieu où j’habite, il s’agit d’un combat universel), j'invite les officiers, les soldats français (et d’ailleurs) qui se trouvent en territoire inique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite tous les citoyens qui se trouvent en territoire inique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi. Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française (et mondiale) ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas. Demain, comme aujourd'hui, je parlerai sur le net ».


 Je complèterai ce fantastique appel, sans arriver à pied par la Chine à ceci :

 

Chine dans le monde qui s’aligne vers la barbarie et la soif maligne de cette denrée avariée qui pollue notre quotidienneté, cette  monnaie et  son cortège d’insatiables affamés, abreuvant notre présent de leurs absurdités, pourras tu rayonner et nous indiquer un chemin différent et serein qui nous conduit à d’autres lendemains ? Seras-tu assez forte, pour, dans cette course au profit où tu excelles à l’envie, dépassant tous les défis,

une fois ta puissance établie, prendre à revers tous les pays, changer de braquet faisant de la connaissance ton souci ? Utiliseras-tu tes vertus millénaires  comme de nouveaux paradigmes pour conduire notre caillou vers une nouvelle énigme, sur  cette voie et cette vertu où ta hauteur s’exprime , comme un phare projetant au loin, le sublime, celui de la vie en harmonie, celui de la voie en pékinois ? Je sais que tu es devenu l’atelier du monde et que ton peuple trime avec une ardeur furibonde, que ta fierté s’exprime dans l’excellence, que tu ne copies point mais que tu innoves en silence. Aussi et peut-être par utopie, j’aime à penser que tu va révolutionner la pensée, en mettant au service du monde  tes deux milles ans d’histoire à la ronde, pour que de tes idéogrammes se conjoignent avec l’éthique avancée de ta pensée avisée, ces chevaliers du Yin s’intriquant dans le Yan, pour de cette dualité, chanter l’unité, non pas celle des dictatures et des trônes usurpés, mais celle de la connaissance et des sphères éthérées. Je crois que tu peux changer le monde, non par la guerre, ni par l’immonde mais par la culture et l’ouverture guidée par la noosphère éclairée, intriquant chaque instant le présent.

Chine, ton cœur s’entend battre de très loin, tes pulsations à l’oraison du soleil levant chantent le renouveau du printemps et tes nobles desseins, traçant sur la Terre les arabesques des idéaux dansant, sur une musique d’antan où le Yin et le Yan spiralent dans la tourmente, s’entremêlant, pour mieux jaillir dans l’entente. Chine tu chemines sur mon échine. Ma peau sent ta féminine étreinte que je te devine rampante sur mon corps de Nîmes. Amours antipodaux de cultures dépouillées des oripeaux du laid qui expriment nos espoirs conjugués d’entonner la vie dans la durée, sur ce caillou, notre contrée. Nos pensées débridées dans les fulgurances de l’espace, fusionnent nos races pour subjuguer le passé et effacer l’échec de nos ancêtres dépassés.

Ne reproduisons pas les schémas du passé et dans une formidable utopie, osons chanter l’alliance d’une libération de l’essence par nos corps intriqués, par nos choix mêlés en refusant la guerre qui nous est imposée.  Pour la vie réunie, proclamons,  unis, l’appel du 18 juin afin qu’il raisonne, résonne dans les tréfonds de nos âmes pour s’incarner dans la vie du changement, la vie de l’action et briser ce monde d’illusions où nul ne sortira gagnant et en vie de cette infamie.

Chine – France, Franche nice.

 


(1(1)Concernant ces nains du pouvoir, on relira Dante : A méditer !

L’enfer de Dante, Chant XXXIII, neuvième cercle: Les traites. Seconde région, l’Antenora : Traites envers leur patrie-Troisième région, la Tolomea : Traites envers leurs hotes.

« « Oh ! lui » dis-je, « es-tu donc mort maintenant ? » Il me répondit : » Ce qu’il advient de mon corps, là-haut, sur terre, je l’ignore.

Cette Tolomea a tel privilège que souventes fois l’âme y tombe avant qu’Atropos ne l’ait mise en route.

Et pour que du visage tu me racles plus volontiers les pleurs vitrifiés, sache qu’aussitôt que l’âme trahit, comme je l’ai fait, son corps lui est arraché par un démon qui le gouverne ensuite jusqu’à ce que soit révolu le temps de sa vie entière. »

 

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 06:13

 

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Le nom Sîmorgh serait issu du pahlavi Senmurv et du pazand Sîna-Mrû, qui a leur tour viennent de l’avestique m r yô Saênô ou "l’oiseau Saêna", décrit comme étant une sorte de rapace ressemblant à l’aigle ou au faucon. Cette expression viendrait elle-même du sanskrit syenah, désignant une sorte d’aigle ou d’épervier.

 Le préfixe "si-" signifie "trente" en persan, pour alléguer qu’il serait aussi grand que trente oiseaux réunis - "morgh" signifiant "oiseau" -, ou encore que son plumage comporterait trente couleurs.

son nid se trouverait au sommet de l’arbre Tûbâ - l’arbre de la connaissance - situé au cœur de la montagne de Qâf se trouvant elle-même au sommet du Malakût, monde imaginal et terre des événements mystiques de l’âme.

 

 le  Sîmorgh est parfois considéré comme étant un symbole de la fertilité ou un médiateur entre le ciel et la terre.

 

Son incantation parvient à tous, mais seul un petit nombre lui prêtent l’oreille. Toutes les connaissances dérivent de son incantation, de même que celle-ci est à l’origine de l’inspiration musicale comme aussi de tous les instruments de musique, lesquels ne font que la traduire." :  Safîr-e  Sîmorgh", in L’archange empourpré, quinze traités et récits mystiques traduits du persan et de l’arabe, présentés et annotés par Henry Corbin, Fayard, 1976. 

 

Le prophète Salomon avait reçu le privilège de comprendre le langage des oiseaux, c’est-à-dire celui de toute la création et de l’être profond de l’ensemble des êtres vivants la composant : chacun devenait alors pour lui un livre ouvert révélant le secret intime de son être, permettant ainsi de déchiffrer tous les symboles et de percer les mystères de la création.

 

Les 7 étapes à franchir pour réaliser ce voyage mythique et atteindre sa vraie Nature :

- quête, recherche,

- amour,

- gnose, connaissance, 

- indépendance,

- unité divine, 

-stupeur,

- dénuement et effacement, annihilation en Dieu.

 

Sîmorgh óFenghuang chinois ó le Zhar-ptitsa russe ó le Ghoghnus arabe ó le Homa persanó Phénix, oiseau fabuleux doté d’une grande longévité et qui doit d’abord se consumer pour pouvoir ensuite renaître de ses cendres.

 

Extrait de :

http://www.teheran.ir/spip.php?article242

 

 

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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 21:51

En cette fin de XXe siècle, où nous sommes à nouveau à la veille d'un cataclysme à l'échelle planétaire, l'oeuvre alchimique redevient primordiale car elle se présente comme une des rares planches de salut de l'homme.

Le trésor des alchimistes, Jacques Sadoul

 

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13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 16:38

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13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 06:56

 

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Sur l’ionique océan, à la frontière des sphères

Là où se forment les vagues luminescentes et fières

Glisse le surfeur des lumières sur sa planche atmosphère

Au cœur du rouleau, dans cette vague mythique

Il dessine la forme et son correspondant mystique

Spirale appuyée pour signaler le changement de temporalité

Une porte est ouverte qui va bientôt tout changer.

L’infra son propageant le nouvel horizon,

activant le souffle de l’esprit et ses exhalaisons   

l’espoir moteur du monde alimente le vert gazon

Et chaque âme se synchronise et vibre à l’unisson.

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12 juin 2010 6 12 /06 /juin /2010 22:53

 

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Booste la vie de mon être qui s’enterre dans l’ici, booste mon cerveau endormi, chante la musique de l’infini dans les neurones unis, configurant  dans ce bal de l’avant, le dessin du temps, ce futur qui sent l’azur, cette terre bleue comme une orange des cieux que je savoure des yeux  consommant son précieux nectar dans mes utopies de vieux. Oh Terre de l’univers, je te chante comme emblème de mon prophétique soir, ma fin dans l’ordre serein, exprimant la beauté de ta biosphère diversifiée, de ton souffle unis et fier de chanter l’unicité, expression de l’un nu dans la pluralité. Ta bannière, la Terre, je la porterai au fin fond de l’univers pour démontrer l’infinité fragile et agile. Toujours sur le fil, enjambant les précipices tel un funambule noctambule, nous parcourons notre destin cernés des gouffres du malsain, mais l’utopie fille de la vie nous montre les iles de la survie, de l’infini et dans cette épiphanie, célébrons  l’ici.

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Home, espèce, société, humanité, faisons de cette tétralité les quatre points cardinaux de la boussole de la destinée. Dans ce mémétique combat développons la même éthique nous orientant sur la carte du futur sachant qu’elle n’est pas la représentation du territoire de l’histoire mais un simple chemin des possibles à apercevoir. Ensemençons le net, plantons les arbres de l’émergence produisant les fruits du transfini, dont le jus savoureux s’écoulera dans les cerveaux studieux d’un futur à construire sous les cieux d’un renouveau  engendré par le deux, cette paire complémentaire compère du père sur Terre qui opère en péréquation dans l’unisson au fin fond du con, puit hermétique de cette confraternelle union sertissant le nouvel horizon.

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 22:20
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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 21:54

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Ode à la vie, joyau de jade qui me suis comme un code imbriqué dans le noyau de mon être clade, spirale de la fractalité, tu me parles contre la fatalité et du cœur de mon égo intriqué j’exprime ta beauté, le rayon du renouveau, cette renaissance de l’essence, distillée par tous les pores de ma peau, interface entre mon intériorité et cette réalité externe si difficile à cerner. En fait, je suis le monde inversé et chaque effort pour le dessiner m’éloigne de son intime réalité. Intérieur, extérieur, un texte  rieur, loin de l’ex saint nieur, tu es moi toi l’autre si différent, miroir insondable de mon histoire, je trace tes contours pour une nouvelle destinée aux alentours. Force et amour contre concussion et négation. Donner, recevoir, partager est plus fort que l’éternité par les liens créés, solides liants, lianes des cosmosphères  de l’ère. L’éclair éclaire clair les lieux et éclipse la noirceur des faux dieux.

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