Mais dans quel monde vivons-nous exactement ? Celui de la propagande des journaux télévisés qui par exemple nous vantent les prodiges de King Jeune Macron premier pour donner lors des prochaines législatives Françaises les pleins pouvoirs au tyran de façon “démoncratique” ou un monde singulièrement différent où ce qui semble totalement à l’ouest recèle finalement une grande part de vérité ?
Poursuivons ces salmigondis sans limite ni tabou pour faire germer une histoire en construction qui relate un passé dont l’étrangeté semble s’intriquer dans notre actualité.
Lorsque l’on se retourne pour apercevoir le chemin parcouru, il y a parfois des changements de perspectives qui vous font voir les lieux de votre histoire d’une façon singulière. La méthode utilisée ici qui est basée sur des juxtapositions, des constructions (ou reconstructions) de faits, de témoignages, de sources exotiques et d’histoires racontées, qui tissent une toile d’où émerge un paysage qui s’inscrit dans une “réalité historique” qui nous parait à la fois incroyable, sibylline et proprement inimaginable. Je me suis attachée ici à coller des morceaux d’un patchwork qui dessinent cette autre trame imposant un décodage différent de l’actualité. Je ne dis pas que cette méthode est miraculeuse et totalement fiable, je dis simplement qu’elle nous ouvre de nouvelles perspectives d’analyse qui sont différentes et que nous aurions tort de négliger. La vérité n’est pas le bout du chemin, elle est le chemin même [0], un chemin fait de faisceaux d’éléments qui sont autant de fibres optiques de ces lampes populaires des années 70-80 dont les couleurs changeantes ondulent dans l’espace d’un fibré, celui de l’histoire racontée, cachée, vérifiée ou mystifiée. La vérité intrinsèque à laquelle on croit n’est probablement qu’une racontabilité locale qui n’a peut-être pas plus de valeur que celui d’un conte de fées, à moins qu’il ne s’agisse d’un cauchemar nauséabond ?
Je vous propose comme à mon habitude de visiter quelques sujets qui semblent datés mais dont on n’imagine pas finalement la pertinence et l’acuité contemporaine
0 Le bon gouvernement et la Tyrannie, une image contemporaine ?
Commençons par les célèbres fresques allégoriques du buon governo et de la Tyrannie qui ont été peintes par Ambrogio Lorenzetti vers 1338 sur les murs de la salle du conseil du palais public de Sienne. Elles se présentent comme deux scènes opposées d’un même théâtre politique. D’un côté on a l’allégorie du mauvais gouvernement. Cette allégorie est dominée par un acteur unique le tyran dont vous voyez qu’il est entouré de l’avarice, de la superbe, de la vanité, de la cruauté, de la trahison et de la fraude accompagné de la fureur tandis qu’à ses pieds git la justice enchaînée. Donc le mauvais gouvernement, nous avons une figure. En revanche le bon gouvernement se présente comme un équilibre entre d’un côté la figure masculine du pouvoir politique qui représente le gouvernement de Sienne et d’autre part la figure féminine de la justice. C’est donc sous cette double égide du pouvoir politique et de l’autorité judiciaire que les honnêtes citoyens pourront contribuer à la prospérité de la cité. Histoire médiévale à garder à l’esprit alors que nous sommes rendus au prochain aiguillage…
I Nikola Tesla et Trump!
Alors que l’on peut affirmer sans guère se tromper que pratiquement personne ne fait de corrections relativistes dans sa vie de tous les jours, Einstein apparait comme LE SAVANT du XX ième siècle et tout le monde a entendu parler de lui, une sorte de mythe. Il en va tout autrement de Nikola Tesla dont tout un chacun met à profit les inventions de ce génie au quotidien (le courant alternatif par exemple) mais que peu sont capables de citer. Un célèbre inconnu qui fut pourtant un génie visionnaire à tel point qu’il semblait, tel un extraterrestre, arpenter les couloirs du temps. Curieux paradoxe n’est-il pas ? Une injustice notable et insupportable mais bien dans l’esprit du temps, car Einstein n’est pas le savant du mythe[1] et Tesla mériterait de sortir de l’anonymat pour que chacun prenne la mesure de ses apports. Aussi il me semblait important de mettre en lumière l’histoire qui va suivre. Tesla termina sa vie de façon assez triste dans un hôtel de New York le 7 janvier 1943, sans un sou et couvert de dettes lui qui entre autre au XIX ième siècle déposait un brevet sur le sous-marin télécommandé, inventait en 1900 le principe du radar et disait avoir établi une communication avec les extraterrestres ! Aussi me semblait-il important de mettre en lumière d’une certaine façon son testament et cette curieuse histoire de la fin de sa vie, car ce savant “oublié” semblait par contre intéresser fortement le gouvernement des Etats Unis, il n’était donc pas oublié par tout le monde…Nous ne disposons de ces éléments que de façon très récente puisque le FBI ne nous a mis à disposition ces documents[2] qu’en septembre 2016 si je ne m’abuse…
Raccourci de l’histoire, ne découvre-t-on pas que celui qui était en charge de ce travail d’enquête à la mort de Tesla n’est autre qu’un oncle de Trump [3] accompagné d’un aéropage de gros calibres dans le domaine de la science, des brevets, du renseignement, etc!
73 ans de silence pour nous dire (mais encore faut-il lire entre les lignes) que finalement, il n’y avait rien de bien exploitable dans ces documents. C’est sûr, on les croit sur parole et cela n’a absolument rien à voir avec l’augmentation du budget de la défense et la question de la construction d’un mur !
Courrier de Monsieur Trump.
Adresse de l’expéditeur:
Mass. Inst. of Tech.
Cambridge, Mass.
30 Janvier 1943
M Walter Gorsuch
Dépositaire des biens étrangers.
120 Broadway
New York, New York
Cher Monsieur
A votre demande et celle de M Joseph T.King du bureau de Washington dépositaire des biens étrangers, j’ai examiné les documents privés, les écrits, et d’autres éléments du défunt docteur Nikola Tesla avec l’objectif de déterminer à la fois leur utilité possible pour ce pays dans son effort de guerre et le risque possible supposé qu’ils échoient dans des mains inamicales.
Cette analyse fut réalisée au Manhattan Warehouse, 52 ième rue, ville de New York, les 26 et 27 Janvier, et ont concerné toutes les notes et les documents en possession du docteur Tesla au moment de sa mort et maintenant propriétés de notre bureau. Pour les raisons indiquées ci-dessous, aucune investigation n’a été menée sur les documents dans les malles qui sont restées intactes au sous-sol de l’hôtel New Yorkais pendant dix ans avant la mort du docteur Tesla.
Comme résultat de cette analyse, c’est mon point de vue qu’il n’existe parmi les documents de Tesla et ses possessions aucune note scientifique, description de méthodes ou de dispositifs non révélés jusqu’à présent, ou un appareil courant qui pourrait être d’une importance significative pour ce pays ou qui pourrait constituer un risque dans des mains ennemies. Je ne peux donc voir aucune raison technique, ni militaire pour laquelle la garde de la propriété devrait être retenue.
Pour vos enregistrements, il a été retiré de vos bureaux un fichier des diverses publications écrites par le docteur Tesla qui couvre typiquement et complétement les idées avec lesquelles il fut concerné pendant ses dernières années. Ces documents sont énumérés et brièvement résumés dans la pièce jointe de cette lettre.
Résumé des écrits du docteur Nikola Tesla retenus comme pièces à conviction pour le dépositaire de biens étrangers.
Texte en italique mes commentaires en police normale.
Le 26 et 27 Janvier 1943, une analyse fut faite des documents techniques du docteur Nikola Tesla qui, après sa mort, furent stockés dans l’entrepôt de Manhattan dans la ville de New York. Cette analyse fut faite dans le but de déterminer si des idées de valeur importante dans le cadre de l’effort actuel de guerre des Etats-Unis pouvaient se trouver parmi ses affaires. Les personnes ayant participé à cette analyse sont M John C.Newingtong, du bureau de New York conservateur des biens étrangers, M Charles J.Hedetniemi, du Bureau de Washington conservateur des biens étrangers, le docteur John G.Trump[3], du bureau de la recherche scientifique et du développement du Massachusetts Institut de Technologie, de Cambridge et du Massachusetts; Willis George, Bureau du renseignement de la Navale, troisième district naval; Edward Palmer, Secrétaire militaire en chef, USNR; John J.Corbett, Secrétaire militaire en chef, USNR.
Les documents suivants, qui furent examinés comme des écrits et des pensées typiques de Nikola Tesla dans la période de 1925 à 1942, furent retirés dans le but de les enregistrer et ils sont listés ci-dessous dans l’ordre aléatoire dans lequel ils furent trouvés, ensemble avec un résumé succinct individuel.
Pièce à conviction A
“Possibilités des générateurs électrostatiques”- Un article qui n’est pas daté probablement écrit aux alentours de 1934 discutant la possibilité, comme une source de haut voltage en courant continu, d’un générateur électrostatique à courroie de type Van de Graaff. L’article décrit correctement les principes électrostatiques employés dans ce dispositif et montre que de tel générateurs ne sont pas adaptés pour les applications commerciales de haute tension, mais cependant d’une valeur scientifique indubitable. La tour sans fil de Tesla, érigée en 1902 à Long Island, est cité dans ce mémoire pour avoir été chargée jusqu’à 30 millions de volts.
Pièce à conviction B
“Les forces réactives de la Glycérine et de la dynamite”. Un article non daté impliquant des calculs du pouvoir explosif de certains composés et ensuite déviant sur une discussion sur la possibilité de transmettre la puissance par des vibrations mécaniques le long de la croute terrestre.
Pièce à conviction C.
“Processus de de gazéification, de raffinage et de purification des métaux”- Un article de 41 pages probablement écrit en 1930 sur le sujet ci-dessus et proposant de nouvelles théories sur la capillarité et la tension superficielle. Cette correspondance indiquait que ceci avait été soumis à diverses compagnies industrielles.
Pièce à conviction D
“Réponse à Amtorg re-La génération de haut voltage et l’accélération de particules chargées”- Ce document, daté du 8 novembre 1935, répond aux questions posées par les ingénieurs soviétiques et les scientifiques à propos de la proposition de Tesla du 16 Mai 1935. De cette réponse, il est déduit que la proposition concernait la génération de hauts voltages par des moyens électrostatiques. Ces moyens consistaient en un terminal de haut-voltage probablement supporté par une colonne isolante et chargé avec un médium convoyant une charge gazeuse passant entre le sol et le terminal. Les idées contenues dans ce mémoire sont très similaires au générateur électrostatique à convoyeur de courroie, méthodes proposées par Van de Graaff et n’apparait pas offrir des caractéristiques inhabituelles.
Pièce à conviction E
“Art de la Telegéodynamique, ou l’art de produire des déplacements terrestres à Distance”- Ce document sous la forme d’une lettre datée du 12 juin 1940 à la compagnie de production électrique Westinghouse, propose une méthode pour la transmission de grands quantités de puissance sur de vastes distances au moyen des vibrations mécaniques de la croute terrestre. La source de puissance est un dispositif mécanique ou électromécanique verrouillé à des protubérances rocheuses et transmettant la puissance à une fréquence de résonance de la croute terrestre. Le schéma proposé apparaît être complètement visionnaire et infaisable. La réponse de Westinghouse indique poliment le rejet de cette idée.
Pièce à conviction F
“Le nouvel art de projeter de l’énergie non dispersée et concentrée à travers le milieu naturel”- Ce document de Tesla qui n’est par daté décrit une méthode électrostatique de production de très hauts voltages et capable d’atteindre de très grande puissance. Ce générateur est utilisé pour accélérer des particules chargées, probablement des électrons. Un tel rayon d’électrons à haute énergie passant dans l’air correspond au moyen “concentré et non dispersif” avec lequel l’énergie est transmise à travers le milieu naturel. Comme composant de cet appareil, il y a de décrit un tube à vide libre dans lequel les électrons sont en premier accélérés.
Le schéma proposé supporte quelques comparaisons aux moyens actuels de production de rayons à partir d’une cathode à haute énergie par l’association d’un générateur électrostatique de haut voltage et d’un tube sous vide pour l’accélération des électrons. C’est bien connu, cependant, de tels équipements, alors qu’ils présentent un intérêt scientifique et médical, sont incapables de transmettre de grandes quantités de puissance dans des rayons non dispersés sur de longue distance. Les révélations de Tesla dans cette note ne permettraient pas la construction de combinaisons exploitables de générateurs et de tubes même de faible puissance, bien que les éléments généraux d’une telle combinaison sont décrit succinctement.
Pièce à conviction G
Une circulaire de Carol Bird, daté du 10 Septembre 1938 et intitulée “Une nouvelle puissance fabuleuse bientôt libérée”. Elle décrit dans un style populaire quelques informations biographiques concernant Nikola Tesla et quelques idées sur la transmission de puissance sur laquelle il disait être en train de travailler. Il apparait que la méthode de transmission se fait par une méthode de résonance mécanique soulignée dans la pièce à conviction F ci-dessus. (un rapport avec le soliton?)
Pièce à conviction H
Cette pièce à conviction consiste en une série de lettres à des représentants du gouvernement Britannique datées du 28 Aout 1936, du 26 octobre 1937, du 15 Décembre 1937, du 5 avril 1938. Elle inclut une réponse datée du 7 Janvier 1938 du gouvernement Britannique. Ces lettres proposent au gouvernement Britannique, moyennant une redevance, la révélation d’un moyen pour accélérer à de très hautes énergies des particules minuscules. De tels rayons constitueraient un rayon de la mort capable d’assurer la protection de la Grande Bretagne contre une attaque aérienne. (Une remarquable anticipation de la bataille d’Angleterre ! Version antique de la guerre des étoiles de Ronald Reagan ? Une sorte de générateur magnéto impulsif Markov MK1 et MK2 de Sakharov [4] avant l’heure ?)
La méthode proposée est essentiellement celle décrite dans la pièce à conviction F ci-dessus. Suivant la lettre initiale datée du 28 Août 1936, les lettres suivantes essayent de clarifier “les incompréhensions” des représentants britanniques et d’expédier leur accord pour la proposition de Tesla. La réponse britannique datée du 7 Janvier est une forme polie de désintérêt pour la proposition.
Pièce à conviction I
Un mémoire qui n’est pas daté écrit après le 79 ième anniversaire de Tesla et décrivant plusieurs découvertes qui croyait-il avait fait. La première en rapport avec une théorie dynamique de la gravité qui est décrite mais pas encore complète. La seconde déclarée comme une vérité physique la croyance “qu’il n’y a pas d’énergie dans la matière autre que celle qui est reçue de l’environnement”. La seconde déclaration, qui est discutée en long et en large dans cet écrit et d’autres de Tesla indique sa croyance dans l’existence d’une énergie nucléaire ou atomique.
Pièce à conviction J
“Une méthode de production de radiations puissantes”- Un mémoire non daté écrit de la main de Tesla et décrivant “un nouveau procédé de génération de rayons très puissants ou de radiations”. Le mémoire passe en revue les travaux de Lenard et Crookes, décrit le travail de Tesla sur la production de hauts voltages, et finalement dans le dernier paragraphe donne la seule description de l’invention contenue dans le mémoire. Cette description est la suivante : “dit brièvement, mon nouveau processus simplifié de génération de rayons puissants consiste à créer à travers le médium d’un jet à très grande vitesse d’un fluide approprié un espace vide autour d’un terminal d’un circuit et de fournir le même avec des courants de la tension et du volume voulus.
Pièce à conviction K
Une lettre à l’institut des brevets prospectifs sur la téléogeodynamique datée du 27 décembre 1941. C’est une lettre d’une page avec la signature dactylographiée du docteur Nikola Tesla, dans laquelle il s’adresse lui-même à l’institut des brevets prospectifs de télégéodynamique, il déclare que plus d’un demi-million de dollars fut dépensé sur ce développement avec les fonds auxquels ont participé les Morgan, Crawford, J.J .Astor et Fish, ainsi que des organisations commerciales, et il déclare que ceci est un nouvel art avec lequel “d’incroyables merveilles peuvent être achevées”.
Pièce à conviction L
“Le nouveau système de propulsion de fluide de Tesla.” C’est un document qui n’est pas daté de 20 pages dactylographiées décrivant un système de propulsion de fluide dans lequel la conversion de l’hydraulique à une puissance mécanique rotatoire est réalisée en faisant passer le fluide entre deux disques plats, librement articulés et enfermés dans une enveloppe.
Ce mémoire écrit aux environs de 1925 décrit en des termes généraux une sorte de turbine hydraulique qui semble utilisable. Il y a de nombreuses preuves parmi les autres documents de Tesla que cette idée était généralement révélée à des individus appropriés et qu’elle reçut des commentaires favorables et probablement quelques utilisations. Quelques-uns de ces commentaires sont contenus dans la dernière page de cette pièce à conviction.
Pièce à conviction M
“La puissance du futur”- Un mémoire apparemment écrit par Tesla et probablement en réponse à une demande de groupes scientifiques populaires pour un avis sur la source future de puissance. Ce mémoire passe en revue l’évolution graduelle des sources de puissance. Il discute en détail la possibilité d’une puissance atomique et déclare que selon son opinion l’énergie atomique n’est pas faisable. La discussion sur l’énergie atomique est apparemment embrouillée d’une certaine façon avec l’énergie planétaire. L’article discute ensuite le sujet du vent, des marées, des éclairs, de la puissance de l’eau comme une source commerciale d’énergie. La dernière phrase de ce mémoire déclare : “Avec mon system sans fil, il est possible de transmettre l’énergie électrique à une distance de 12000 miles avec une perte n’excédant pas 5 pour cent. Je ne peux concevoir une avancée qui serait plus souhaitable en ce moment et plus bénéfique pour les futurs progrès de l’humanité”. Ce mémoire constitue une discussion généralisée intéressante sur les diverses sources de puissance. Il est qualitativement correct pour sa plus grande partie excepté probablement dans la partie qui traite de la puissance atomique (L’expert n’en est pas vraiment sûr !)
Pièce à conviction N
La transmission de l’énergie électrique sans fil. Un article de N.Tesla dans la revue “Electric World” de mars 1904, pages 429-431[1]. Un article général et quelque part autobiographique sur les travaux précoces de Tesla avec quelques spéculations sur la possibilité d’une transmission sans fil sur de longue distance de grande quantité d’énergie.
Pièce à conviction O
“Système mondial de transmission d’énergie sans fil” – un article de N.Tesla dans l’âge du télégraphe et du téléphone, du 16 octobre 1927, pages 457 et 460. Un article qui retrace le travail précoce de la production et de la transmission des radiations électromagnétiques, décrit les efforts de Tesla pour augmenter la quantité de puissance qui peut être transmise sans fil et conclut avec un “système mondial” proposé pour la transmission sans fil à la fois de la puissance et des communications. Aucune révélation utilisable du moyen pour accomplir ceci n’est inclus, et de telles généralités suggèrent que l’approche que Tesla avait dans l’esprit ne semble pas capable de réaliser le résultat désiré.
Pièce à conviction P
“Une interview avec le Docteur Nikola Tesla” par Alden P. Armagnac de la “Science populaire Mensuelle” du 24 Mai 1928. Un mémorandum de 11 pages écrit dans le style d’une conversation populaire décrivant une interview avec le docteur Tesla et décrivant son travail actuel. Ce rapport inclut des déclarations sur un nouvel avion, des vaisseaux fusées, et de la transmission de puissance sans fil, sur un plan d’un système mondial pour la transmission de la voix et de la télévision, sur l’impraticabilité d’exploiter l’énergie nucléaire, sur l’activité radio, et sur l’accélération des particules chargées, tels que les rayons de cathode, par des hauts voltages.
Pièce à conviction Q.
Un contrat daté du 20 Avril 1935, entre Nikola Tesla et la Amtorg Trading Corporation, dans lequel Tesla s’engage à fournir les plans, les spécifications, et une information complète sur une méthode et un appareil pour produire des hauts voltages jusqu’à 50 millions de volts, pour produire de très petites particules dans un tube ouvert à l’air, pour augmenter la charge des particules au plein voltage du terminal potentiel élevé, et pour projeter les particules à des distances de 100 000 milles ou plus. La vitesse maximum des particules fut spécifiée comme pas moins de 350 milles par seconde (Idéal pour la propulsion interplanétaire !). Le reçu de 25 000 $ pour cette révélation qui fut reconnue dans ce contrat, qui fut signé par Nikola Tesla et par A.Bartanian de la Amtorg Trading Corporation. La méthode dont il est question dans ce contrat est apparemment celle décrite dans la pièce à conviction F, ci-dessus. Il est probable que la pièce à conviction D, ci-dessus, est un effort de Tesla de clarifier les questions posées par les ingénieurs soviétiques après que la révélation fut faite. Il n’y a pas de preuve que l’invention et l’information dont il est fait référence dans ce contrat soient autres que celles décrites dans nombre de publications de Tesla et d’articles publiés. Il devrait donc être attendu, et c’est justifié par la pièce à conviction D, que cette révélation se révéla par la suite impraticable.
3. Une analyse de plusieurs objets d’appareils scientifiques parmi les efforts de Tesla à la Manhattan Warehouse et dans un coffre au Governor Clinton Hotel montrèrent qu’il s’agissait d’instruments de mesure électrique standards en usage répandu il y a quelques décennies.
JOHN G. TRUMP
Technical Aide
Division 14, NIRC
Mass. Inst. Of Tech.,
Cambridge, Mass.,
January 30, 1943
3 Applications pratiques en 2015?
Etonnant système dont on comprend en poussant un peu le concept que nous disposons là de la base pratique des boucliers dont sont équipés les vaisseaux extraterrestres de nos productions hollywoodienne telle qu’Independance day. Transfert de technologie ou application de quelques principes de Tesla ?
Traduction rapide du document :
Méthode et système pour atténuer les ondes de choc par arc électromagnétique [5]
Diagramme schématique des éléments d’un système révélé selon un mode de réalisation.
Brevet N° US 8 981 261 B1 du 17 mars 2015 – Inventeur Brian J.Tillotson,Kent, WA (US) Cessionnaire: The Boeing Company, Chicago, OL (US)
Résumé.
Une méthode et un système pour atténuer les ondes de choc se propageant à travers un premier milieu en chauffant rapidement une région sélectionnée du fluide du premier milieu pour créer un second milieu, un milieu transitoire qui intercepte l’onde de choc et atténue sa densité d’énergie avant qu’elle atteigne un actif protégé. Le second milieu peut atténuer l’onde de choc par une ou plusieurs réflexions, réfractions, dispersions, absorptions et transferts de moment. La méthode et le système peuvent inclure un senseur pour détecter un évènement produisant une onde de choc, déterminant la direction et la distance de l’onde de choc relative pour une cible défendue et calculer un plan de feu, et un générateur d’arc pour créer le second milieu. Le générateur d’arc peut créer le second milieu en créant un arc électrique qui voyage le long d’un chemin électriquement conducteur, utilisant au moins des impulsions laser de haute intensité, des pastilles formant une piste ionique conductrice, des conducteurs sacrificiels, des projectiles trainant des fils électriques, et de l’induction magnétique.
23 revendications – 7 schémas.
Champ
Ce brevet décrit les méthodes et les systèmes pour atténuer une onde de choc, et plus particulièrement les méthodes et les systèmes pour atténuer les ondes de choc par un chauffage rapide de l’air pour interposer un milieu intermédiaire entre l’onde de choc et une région protégée.
Contexte
Les charges explosives sont utilisées de façon croissante dans la guerre asymétrique pour provoquer des dommages et la destruction des équipements et la perte de vie. La majorité des dommages causés par des charges explosives proviennent des éclats et des ondes de choc. Le débris est matériel, tels que les fragments de métaux, qui est propagé rapidement à partir de la zone d’explosion et peut endommager les structures stationnaires, les véhicules, ou les autres cibles. Les dommages par les débris peuvent être empêchés ou prévenus par, à titre d’exemple, des barrières physiques. Les ondes de choc sont des discontinuités de pression, de température et de densité en mouvement et d’autres manifestations physiques à travers un milieu tel que l’atmosphère. Les dommages provenant des ondes de choc sont plus difficiles à prévenir car les ondes de choc peuvent traverser un milieu intermédiaire, y compris les barrières physiques.
Les dommages occasionnés par les ondes de choc peuvent être atténués ou prévenus en interposant un matériau d’atténuation entre la source de l’onde de choc et l’objet qui doit être protégé. Ce matériau d’atténuation peut être typiquement conçu ou sélectionné pour absorber l’énergie de l’onde de choc en utilisant un matériau poreux qui se distord lorsque l’énergie de l’onde de choc est absorbée.
Le brevet U.S N° 5394786 de Gettle et al. décrit une atténuation d’onde de choc qui utilise un milieu absorbant. Cet assemblage comprend des écrans poreux qui forment une enceinte remplie d’un moyen d’atténuation des ondes de pression. Ce moyen d’atténuation peut être une mousse aqueuse, une émulsion de gaz, un gel, ou d’autres particules solides ou granulaires. Cependant, comme montré et décrit dans les schémas du brevet, l’assemblage atténuant l’onde de choc doit être positionné avant que l’explosion ait lieu et entouré l’aire à protéger. Par exemple, l’assemblage peut être positionné sur le côté d’un véhicule pour prévenir les dégâts sur le véhicule ou les passagers à l’intérieur.
Un dispositif d’atténuation d’onde de choc similaire est décrit dans le brevet US N° 2007-0006723 de Waddell, Jr et al. Ce dispositif comprend un nombre de cellules remplies avec un matériau d’atténuation comme des mousses aqueuses. Cependant, comme le dispositif décrit par Gettle et al., le dispositif et le matériau atténuant la pression doit être positionné sur une structure, une surface ou une personne à protéger par le système avant que l’explosion n’ait lieu.
Une caractéristique commune parmi l’état de l’art des systèmes d’atténuation des ondes de choc est qu’ils nécessitent un milieu intermédiaire ou une structure qui agit pour atténuer la force de l’onde de choc en absorbant l’énergie de l’onde de choc. Bien que seulement une partie de l’onde de choc puisse passer à travers le milieu, l’énergie de l’onde de choc est cependant significativement réduite par l’intermédiaire du milieu. Cependant, comme ces systèmes sont structuraux, ils doivent être mis en place avant qu’une onde de choc soit créée. De plus, ces systèmes d’atténuation d’onde de choc ne peuvent pas protéger un véhicule dans son ensemble ou une personne. Par exemple, les panneaux d’atténuation ne sont pas transparents et donc ne peuvent être placés sur des fenêtres ou utilisés comme masques pour le visage dans les casques. Ils peuvent aussi être encombrants et lourds, et donc avoir un impact négatif sur la performance du véhicule sur lequel ils sont montés.
L’état de l’art des systèmes d’atténuation des ondes de choc ne peut être effectif pour protéger efficacement des moyens terrestres mobiles pour lesquels une menace entrante peut se présenter comme un obus balistique, une roquette, un IED , ou une mine terrestre, ou pour les moyens navigant sur l’eau pour lesquels une menace entrante peut se présenter sous la forme d’une torpille, un obus balistique, une bombe ou une mine navale. Par conséquent, un besoin existe pour un dispositif d’atténuation d’une onde de choc qui est capable d’interposer dynamiquement un milieu entre une source d’explosion et un moyen à protéger. Il y a aussi un besoin d’un milieu intermédiaire qui atténue effectivement l’énergie d’une onde de choc et qui permet la protection des moyens protégés dans un environnement marin.
Sommaire
Il est présenté un système et une méthode d’atténuer un onde de choc se propageant dans un premier milieu en détectant un évènement produisant une onde de choc, en déterminant une direction de l’onde de choc relativement au moyen à protéger, en interposant un second milieu transitoire, différent du premier milieu, entre l’onde de choc et le moyen à protéger de telle façon qu’une onde de choc produite par l’évènement rentre en contact avec le second milieu et est atténuée en énergie donc avant d’atteindre le moyen à protéger. Le second milieu peut être formé rapidement en chauffant une région du premier milieu de façon à ce que le second milieu diffère du premier en température, densité et composition.
Dans un mode de réalisation, un système pour atténuer une onde de choc se propageant dans un premier milieu peut comporter un capteur pour détecter une source d’onde de choc et générer un signal de détection, un générateur d’arc en communication avec le senseur est configuré pour recevoir le signal de détection, et en réponse à cette détection créer un arc électromagnétique pour chauffer une région sélectionnée du premier milieu rapidement pour créer le second milieu transitoire, différent du premier milieu, interposé entre l’onde de choc et la région protégée de telle sorte que l’onde de choc rentre en contact avec le second milieu transitoire. Le générateur d’arc peut être configuré pour chauffer la région sélectionnée en générant un arc électrique, comme un arc électrique ou un laser ou un arc microonde, entre la région protégée et l’onde de choc entrante. Dans un mode de réalisation, le générateur d’arc peut inclure une fourniture d’énergie pour créer l’arc et peut fournir un chemin conducteur.
Dans les modes de réalisation, le générateur d’arc peut être configuré pour générer un faisceau de microondes concentrées ou un faisceau laser concentré. Dans chaque cas, le faisceau peut rapidement chauffer le fluide du milieu dans la région sélectionnée pour créer le second milieu. Dans un mode de réalisation, dans lequel le fluide du milieu est l’air atmosphérique, le faisceau concentré chauffe rapidement l’air dans la région sélectionnée et change sa température, sa densité et sa composition, résultant dans la création d’électrons libres.
Dans d’autres modes de réalisation, le générateur d’arc peut être adapté pour développer et conduire un courant électrique important à travers le fluide du milieu rapidement. Dans le mode de réalisation où le milieu est l’air atmosphérique, le second milieu peut différer de l’air ambiant en température, densité et composition. Avec ces modes de réalisation, le générateur d’arc peut être adapté pour créer un chemin conducteur pour le courant électrique. En conséquence, le générateur d’arc peut être configuré pour générer une ou plusieurs des canaux de plasma induit par laser (LIPC) à partir des rayons lasers convergents, des pastilles de traceurs ionisants sur les chemins convergents, et des projectiles trainant des fils électriques fins le long des chemins convergents. Dans chacun de ces modes de réalisation, un arc électrique peut être généré pour voyager sur un chemin conducteur créé par la rupture diélectrique de l’air ionisé ambiant de la région sélectionnée.
Dans d’autres modes de réalisation encore, le générateur d’arc peut inclure un conducteur sacrificiel qui peut ne pas dépendre d’un trajet du courant le long d’un chemin de l’air ionisé. A la place, le générateur d’arc peut inclure une source de puissance qui applique un courant à un conducteur sous la forme d’un ou plusieurs bandes ou fils de matériau conducteur. Le courant fort circulant à travers le conducteur à partir de la source d’énergie peut vaporiser le conducteur, formant un canal conducteur de vapeur qui peut rapidement chauffer et ioniser l’air dans la région sélectionnée pour créer un second milieu en expansion rapide. Un avantage de ce mode de réalisation est que le conducteur sacrificiel peut être attaché directement au dispositif à protéger, comme un véhicule.
De tels modes de réalisation comme décrit ci-dessus peuvent réduire la densité d’énergie de l’onde de choc en créant un second milieu dans le chemin de l’onde de choc avançant qui reflète, réfracte, absorbe et dévie au moins une partie de l’onde de choc. Ceci peut-être réaliser en créant un second milieu qui diffère du milieu ambiant (par exemple l’air atmosphérique) en densité, température et/ou composition. De telles différences peuvent changer l’indice de réfraction du front d’onde comme il entre en contact avec le second milieu, provoquant au moins quelques ondes de choc d’être réfléchies à partir de la surface du second milieu, et de diverger comme l’onde de choc voyage à travers le milieu, et d’être réfléchie et diverge un peu plus comme l’onde de choc contacte la limite arrière du second milieu. Le second milieu, de quelques modes de réalisation, agissent pour absorber l’énergie de l’onde de choc comme le milieu peut être à une température augmentée.
Dans d’autres modes de réalisation encore, le générateur d’arc crée le second milieu par une induction magnétique. Le générateur d’arc peut être adapté pour créer des canaux ou de l’air ionisé. Lorsque constaté par une onde de choc avançant, le canal conducteur peut être déformé comme l’air ionisé et ils sont poussés à l’intérieur. Ce mouvement provoque un travail mécanique, qui enlève de l’énergie de l’onde de choc, la rendant plus faible. D’un côté, les canaux peuvent ne pas être rigides, et peuvent être poussés par l’onde de choc contre l’air ambiant que les canaux sont en train de déplacer, ce qui peut transférer l’énergie de l’onde de choc en énergie cinétique de l’air déplacé. D’un autre côté, les parties des canaux conducteurs ne sont pas rigides, mais les canaux d’air ionisé poussés en avant du flux magnétique sont perturbés et brisés jusqu’à ce qu’ils forment de nouveaux canaux à travers l’air qui chauffent l’air. Au moins une partie de l’énergie de l’onde de choc peut-être transformée en énergie d’ionisation de l’air ionisé et en une énergie de pression-température-volume de l’air chaux en expansion.
Enfin d’un autre côté, les canaux conducteurs du flux magnétique sont rigides et peuvent ne pas être déformés par le contact avec l’onde de choc avançant. A la place, le flux peut être compressé par contact avec l’onde de choc, qui peut accroître le courant électrique dans les canaux conducteurs. Cette augmentation de l’intensité du courant se traduit en perte d’énergie par l’onde de choc. Le générateur d’arc peut être configuré de telle façon que l’excès de courant peut bipasser la source de puissance et être shunté pour chauffer une charge résistive, ou charger un condensateur où il peut être utilisé plus tard pour alimenter le générateur d’arc.
Avec de tels modes de réalisation, l’onde de choc avançant est réduite en force comme l’énergie de l’onde de choc est convertie en énergie mécanique, ou en énergie électrique, comme quand elle déforme les canaux d’induction magnétique. C’est dans le cadre de cette divulgation pour fournir un système et une méthode dans lesquels les combinaisons des modes de réalisation précédents sont déployés pour défendre un dispositif protégé, ou dans lesquels un mode de réalisation est déployé de multiples fois contre une menace entrante.
Les caractéristiques, les fonctions et les avantages qui ont été discutés peuvent être réalisés indépendamment dans divers modes de réalisation de l’invention présente ou peuvent être combinés dans d’autres modes de réalisation encore dont les détails peuvent être vus ci-après en référence aux descriptions suivantes, schémas et déclarations.
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A suivre.
[0]Albert Camus.
[1] Einstein fut un très grand physicien mais certainement pas celui du mythe qui occupe aujourd’hui l’espace public. Rappelons que le véritable père de la relativité restreinte est en fait Henri Poincaré dont les travaux sont antérieurs à ceux d’Einstein, qu’il est pratiquement impossible qu’Einstein n’en ait pas eu connaissance mais que ce dernier ne cita jamais Poincaré. Quant à la relativité générale sa mise en musique théorique se fit grâce aux apports inestimables des mathématiciens Noether (la touche féminine) mais surtout Hilbert.
[2] https://vault.fbi.gov/nikola-tesla
[3] https://en.wikipedia.org/wiki/John_G._Trump
[4]https://en.wikipedia.org/wiki/Explosively_pumped_flux_compression_generator
[5]http://www.google.com/patents/US8981261
Ne manque-t-il pas d'autres réalisations?