AI
Bon, eh bien cela progresse car voilà maintenant des réseaux de neurones qui se mettent à créer tout seuls leurs propres algorithmes de cryptage sans directive spécifique ! Voilà qui devrait interpeller les officines de renseignement car si des « machines » commencent à se créer des codes inbitables (c’est le cas de le dire) pour les êtres humains, cela est quelque peu inquiétant et présage peut-être une future main de fer sur les affaires humaines dans un GANt[0] de velours, une odeur de sapin peut-être ? Espérons que le DTN[1] de l’internet des étoiles n’introduira pas trop de problèmes de synchronisation.
https://arxiv.org/pdf/1610.06918v1.pdf
LEARNING TO PROTECT COMMUNICATIONS WITH ADVERSARIAL NEURAL CRYPTOGRAPHY
Nous nous interrogeons afin de savoir si des réseaux de neurones peuvent apprendre à utiliser des clés secrètes pour protéger les informations d’autres réseaux de neurones. De façon spécifique, nous nous concentrons sur comment protéger les propriétés de confidentialité dans un système multi agents, et nous spécifions ces propriétés en terme d’un adversaire. Ainsi, un système peut consister sous la forme d’un réseau de neurones appelés Alice et Bob, et notre objectif est de limiter à ce qu’un troisième réseau neuronal appelé Eve apprenne en écoutant les communications entre Alice et Bob. Nous ne prescrivons aucun algorithme cryptographique spécifique pour ces réseaux neuronaux ; A la place, nous les entrainons côte à côte de façon antagoniste. Nous démontrons que les réseaux de neurones peuvent apprendre comment réaliser des formes de cryptages et de décryptages, et aussi comment appliquer ces opérations de façon sélective afin de répondre à des objectifs de confidentialité.
[0]GAN : Generative Adversarial Network.
[1]DTNRG : Delay-Tolerant Networking Research Group.
Une autre histoire d'écoute:
"Verdadera origen de la señal captada
Lo comprobamos a nuestra llegada a la Tierra. No se trataba, como creímos nosotros, de un mensaje interplanetario enviado por la civilización terrestre, sino un fragmento de conversación codificada, remitido por un avión de nacionalidad noruega, que entre los días 4 a 8 de febrero de 1934, emitió en plan de pruebas cuando se dirigía a Terranova. Unos científicos de aquella nacionalidad, expertos en electrónica, entonces denominada T.S.F., probaban unos equipos de alta frecuencia, tendentes a demostrar la viabilidad de la comunicaciones por reflexión ionosferica. (Entonces ustedes desconocían muchas técnicas, familiares hoy para los ingenieros terrestres actuales). Una parte de la señal llego casualmente hasta nosotros. (La emisión tardo en llegar hasta UMMO unos catorce anos, ya que las ondas electromagnéticas se propagan por una geodésica que considerada en le espacio de tres dimensiones, resulta una línea recta)."