Parce que la vérité se présente toujours sous la forme de la beauté, enfin je crois...
Des nouvelles de Mars et du bon docteur ? Cela faisait un petit moment que ce sujet était resté en jachère, alors autant profiter de cette fin d’année pour le compléter, d’autant plus que le bon docteur a donné une interview le 22/12/2017 qui est particulièrement intéressante notamment pour ceux qui s’intéressent à la question extraterrestre, au SSP (Secret Space Program) et aux autres « divulgations » de ce cercle infernal de la vérité/mensonge qui circule sur le net. Mais attention, je vous invite à développer votre sens critique et à éviter de tomber dans les travers des brigades de l’ânerie, qui sans vraiment réfléchir, vous estampillent toute étrangeté du tampon « fake ». Il est vrai que c’est beaucoup plus simple et cela évite de réfléchir [0]. Mais bon, prenons ici le parti inverse et découvrons ce que nous dit le docteur Brandenburg. Histoire de faire un bras d’honneur à nos champions en zèteânerie, commençons par un argument d’autorité en parcourant rapidement le parcours professionnel de John et de sa théorie martienne :
John E. Brandenburg, Docteur en physique des plasmas travaillant à la société privé MAPI [1] (Madison Wisconsin), a présenté lors de la conférence de l’institut américain d’Astronautique et d’Aéronautique (AIAA) qui s’est tenue à Long Beach en 2016 et où participait tout le gratin civil et militaire de l’espace US (Astronautes, responsables de la Nasa, des sociétés Boeing, Northrop Grumman et autres responsables de sociétés astronautiques, etc.) le résultat de ses travaux accumulant des données qui étayent son hypothèse selon laquelle il s’est produit il y a une éternité deux explosions aériennes de bombes thermonucléaires à hydrogène au-dessus de Cydonia Mensae et de Galaxias Chaos dans l’hémisphère nord de Mars. Allons tout de suite à l’interview qui se trouve ici :
en anglais mais que j’ai traduit rapidement, merci de votre indulgence :
Linda Moulton Howe :
John, parlez-moi des réactions que vous avez eu face à vos déclarations.
John Brandenbourg :
Bien, c’est vraiment conforme à ce que je comprends. Vous devez vous rappeler que la NASA et en particulier le JPL, qui réalise de nombreux travaux classifiés dans le domaine de la défense, ils sont vus comme faisant partie des fondations des services de renseignements de la défense. L’idée qu’il s’agit d’agences spatiales civiles, c’est juste une fable qu’ils ont fabriqué pour endormir le public.
Linda Moulton Howe :
En effet.
John Brandenbourg :
Ils font vraiment partie du département de la défense pour la communauté du renseignement. Et ils doivent s’attendre à suivre les ordres. Presque tous les astronautes sont soit des militaires en activité, soit des anciens militaires. Et ils considèrent juste que cela fait partie de leur travail d’éviter toute réaction publique négative. C’est dans le rapport Rand qui est vraiment l’ADN fondateur de la NASA. Ce fut découvert par Don Ecker, du magazine UFO. Et ils s’attendirent à découvrir une civilisation éteinte sur Mars.
Extrait du rapport de la Rand: Les OVNIs---Objets volants non identifiés, ou soucoupes volantes comme ils sont souvent appelés—ont été dans l’esprit du public pendant au moins les 22 dernières années. Pour un certain nombre de raisons, nous en savons un peu plus aujourd’hui qu’au début. Il y a beaucoup de désinformation concernant le phénomène non seulement dans l’esprit du public, mais aussi parmi les groupes de personnes éduquées comme les scientifiques. C’est l’objet de cette série de notes afin de décrire les divers aspects du phénomène, éclaircir les préjugés et leurs raisons, et suggérer un moyen de rendre compte de ce problème intéressant et très significatif. Extrait du document Rand « les Ovnis : Que faire ? » par George Kocher du 27 Novembre 1968. Pour l’utilisation de la Rand seulement.
Linda Moulton Howe :
Pourquoi ?
John Brandenbourg :
Eh bien, ils espèrent trouver des preuves de visites extraterrestre sur la planète, disent-ils.
Linda Moulton Howe :
Quand dirent-ils cela ?
John Brandenbourg :
Ce fut aux environs de 1968, c’était un rapport de la RAND, et j’en parle dans mon livre, « Mort sur Mars ». Et aussi, ce qu’ils en disent est que si nous trouvons quelque chose- une preuve d’une civilisation extraterrestre ou un passage extraterrestre- nous allons alors le cacher car cela conduira à une réaction publique négative. Vous devez vous souvenir que, la plupart de ces gens, et en particulier au début des années 1960, furent formés pendant la deuxième guerre mondiale et pendant la guerre de Corée où les bonnes mœurs consistaient en grande partie à soutenir l’effort de guerre. Aussi, ils ont donc protégé la morale publique aussi bien que les parties physiques du pays.
Linda Moulton Howe :
Xenon-129 une anomalie sur Venus, aussi ? Mais John, pour couvrir quelque chose ayant autant d’impact que de savoir qu’il y a eu de la vie sur Mars et l’implication que votre propre travail réaffirme, qu’il y a eu des sortes d’explosions Thermonucléaires sur Mars, et puis cette nouveauté à propos de Vénus. Le saviez vous ?
John Brandenbourg :
Bien, Venus est un cas curieux parce que les données concernant le Xenon-129 de Mars furent publiées immédiatement, ce qui vous savez, montre cette signature nucléaire à ceux qui sont initiés. Cependant, pour Venus, ils continuèrent à dire que les données du Xénon étaient brouillées. Aussi (le témoignage d’Amy) si c’est correct, alors ceci signifie aussi que la NASA et le JPL trouvèrent la même signature d’armes nucléaires sur Venus. Vous ne pouvez trouver les données sur le Xénon-129 de Venus malgré le fait que nous ayons posé une sonde là-bas. Ils ont dit que les données du Xénon étaient brouillées.
Linda Moulton Howe :
Encore un autre mensonge, une autre dissimulation.
John Brandenbourg :
Eh oui, j’ai bien peur que oui. Pour eux, dissimuler les choses, c’est un réflexe, en particulier s’il y a un quelconque lien avec la défense, ce qui dans un sens, fait que Mars et apparemment Venus devinrent aussi une partie dans la dissimulation des OVNIs.
Linda Moulton Howe :
Deux bombes à hydrogène au-dessus de la Cydonia Martienne ?
Photo de l’orbiter de Viking image 35A72 de la région « Cydonia » dans l’hémisphère nord de Mars où la fameuse face et la ville et la pyramide D&M furent nommés après leurs découvertes par Vincent Di Pietro et Gregory Molenaar, qui étaient tous les deux des ingénieurs en informatique au centre des vols spatiaux de Goddard de la Nasa dans le Maryland.
Votre hypothèse sur Mars, deux bombes à hydrogène sur l’hémisphère nord au-dessus de la région de Cydonia.
John Brandenbourg :
Au-dessus de la région de l’Utopie aussi.
Linda Moulton Howe :
Oui. Pouvez-vous décrire votre hypothèse maintenant avec ces nouvelles données émanant d’un contrôleur de vol à la retraite du JPL selon lesquelles Venus aussi aurait la même sorte de signature ? Que supposeriez-vous alors qu’il se soit passé dans ce système solaire ?
John Brandenbourg :
Si cela était vrai, c’est comme si quelqu’un était juste venu dans le système solaire et aurait liquidé chaque planète qui accueillait la vie qu’ils découvrirent. Maintenant, il y eut une extinction de masse énorme. La Terre devint pratiquement comme Mars il y a environ un quart de milliards d’années (252 millions) dans ce qui est appelé la Grande Extinction Permienne. Il y a des anomalies isotopiques qui sont associées avec cela. Dans mon livre, j’invitais les gens qui, s’ils étaient au courant des anomalies isotopiques, qu’ils devraient les publier.
Note de l’éditeur : L’événement de l’extinction du Permien-Triassique ou la grande faucheuse, se produisit il y a environ 252 millions d’années, formant la frontière entre le Permien et les périodes géologiques du Triassique, ainsi que les ères Paléozoïques et Mésozoïques. C’est l’extinction connue la plus sévère qu’ait connu la Terre avec jusqu’à 96 % de toutes les espèces marines et 70 % des espèces de vertébrés terrestres qui furent éteintes. C’est la seule extinction de masse connue des insectes. Quelques 57 % de toutes les familles et 83 % de tous les genres disparurent. Parce que tant de biodiversité fut perdu, le rétablissement de la vie sur Terre prit beaucoup plus longtemps qu’après toutes les autres extinctions, probablement plus de 10 millions d’années.
Linda Moulton Howe :
Votre insinuation est que la chronologie pourrait avoir été il y a un quart de milliards d’années lorsque se produisit l’extinction du permien, et il peut avoir eu la même chronologie.
John Brandenbourg :
Oui. Il se peut que ce fut le même genre d’événement. Quelqu’un peut avoir lancé une très grande arme nucléaire sur la Terre, à cette période, de façon à tuer toute la vie sur Terre. Parce que, je pense que 90 % cent de la vie dans l’océan a disparu.
Linda Moulton Howe :
Oui. Et que si c’était au même moment que Venus et Mars qui eurent ces bombes à Hydrogène supposées qui ont explosé, quelqu’un a t’il fait l’hypothèse de quels auraient été les acteurs qui voulaient retirer la vie dans ce système solaire ?
John Brandenbourg :
Non. Les rapports que j’ai entendus, c’est qu’il y a beaucoup d’espèces là dehors, comme vous pourriez vous attendre. Il y a beaucoup d’espèces intelligentes là dehors, et quelques-unes d’entre elles, elles pourraient marcher à côté de vous dans la rue, et vous ne penseriez pas qu’ils seraient d’une autre planète [3]. Ils semblent absolument humains, et en fait, sont apparemment membres de notre famille. Nous en faisons partie, vous savez, c’est une chose dans la bible, dans la genèse, où quelqu’un est venue ici et s’est marié avec nous.
Linda Moulton Howe :
Pourquoi n’y a-t-il pas de Xénon-129 atmosphérique dans les données de Venus ? Vous pourriez me dire quelque chose à propos de la dissimulation sur Mars/Venus.
John Brandenbourg :
La NASA a publié les données sur Mars du Xénon-129, qui étaient vraiment remarquables. Aussi ce fut révélé de façon similaire en 1976. Et il est possible qu’ils ne s’aperçussent pas au début de sa signification lorsqu’elles furent publiées. Voilà, c’est ma compréhension, qu’ils envoyèrent une sonde dans l’atmosphère de Venus, et c’est où les analyses de Xenon échouèrent, alors même qu’ils obtinrent le Krypton et les gaz plus légers. La NASA a dit apparamment, « Oh, nous ne pouvons obtenir aucune bonne donnée des distributions de Xénon. » Ainsi aucune anomalie de Xenon-129 sur Venus-soit qu’ils ne purent la détecter, soit qu’elle est classifiée.
Linda Moulton Howe :
Quel est votre idée ?
John Brandenbourg :
J’imagine qu’ils ont gardé le silence parce que les russes se posèrent plusieurs fois sur Venus, et ils ne rapportèrent rien sur le gaz Xénon, même si cela aurait été très facile pour eux de le faire. Les russes, croyez-le ou pas, c’est une des rares choses où les américains et les russes tombèrent d’accord, c’ est de garder le silence sur ces choses. Ce n’est dans l’intérêt d’aucun de ces pays de parler de la possibilité d’existence d’extraterrestres hostiles là dehors.
Linda Moulton Howe :
Mais John, en gardant cette information secrète avec une politique de deni, cela ne change pas la vérité qui est là.
John Brandenbourg :
Non
Linda Moulton Howe :
Qu’apparemment il y a eu des explosions thermonucléaires sur Mars, Venus et peut-être la Terre.
John Brandenbourg :
Bien, je peux être certain qu’elles eurent lieu sur Mars. Il y a des preuves à cause de la chronologie de la grande Extinction du Permien. A ce propos, il n’y a pas d’explication pour l’extinction du permien. C’est un mystère complet. L’ensemble de l’océan mourut. Et cela indiquerait qu’une grande quantité de radioactivité s’est probablement déposée dans les océans et a tué tout le plancton.
Toutes les autres extinctions de masse sur Terre furent beaucoup moins sévères, et les océans aidèrent en gros à repeupler la Terre, alors que pour l’Extinction du Permien, les océans s’éteignirent. Aussi c’est un grand et profond mystère, et c’est environ au même moment que cet événement peut avoir eu lieu sur Mars (il y a 252 millions d’années).
Venus- Je vais garder l’esprit ouvert sur cela. Les atterrissages russes sur Venus ne se produisirent pas avant les années 1970, et les atterrissages américains sur Venus ne se produisirent pas avant les années 1970. Ce fut à la fin des années 1970 que la sonde Pioneer se posa sur Venus, et c’est alors qu’ils donnèrent l’histoire que, de façon surprenante ils ne purent obtenir aucune données sur le Xénon, même si ils obtinrent des données sur les autres gaz inertes.
J’ai essayé d’imaginer ce qu’est un taux normal de Xénon pour une planète qui est la même que la Terre, et c’est un équilibre presque parfait entre le Xénon-129 et le Xénon-132. Partout dans le système solaire c’est vrai. Même sur Jupiter [4]
Mais je me suis toujours questionné à propos de Venus car la NASA n’avait aucune donnée, dirent-ils et que cela me surprenait parce que tout le reste de la mission se déroula parfaitement. Et les russes eux-mêmes se posèrent sur Venus avec succès. Aussi, vous auriez pensé qu’ils auraient mesuré des choses comme cela, mais ils furent vraiment très discrets à ce propos. Nous n’avons pas de données sur le Xenon des missions russes sur Venus.
Linda Moulton Howe :
Aussi ce controleur de vol du JPL à la retraite, parlant avec cet adolescent pendant l’été 1990, ne fournit-il pas une pièce du puzzle qui colle et aussi renforce votre propre hypothèse ?
John Brandenbourg :
Oui, oui, je le dirais aussi. Et je l’ai entendu d’un autre scientifique impliqué de près dans la recherche sur Mars qu’il y a vraiment une dissimulation sur Mars. Je suis allé à de nombreuses réunions scientifiques sur Mars, et je me suis lié d’amitié avec des personnes qui sont dans le cercle intérieur de la NASA aussi loin que Mars. Et une d’elle me confirma qu’il y avait une dissimulation en cours sur Mars.
Linda Moulton Howe :
Avez-vous discuté avec elle des détails ?
John Brandenbourg :
Non, elle m’a dit quelque chose de vraiment intéressant, imaginez. Elle a dit, « Vous devriez lire les travaux de William K.Hartmann. » William K.Harmann n’est pas seulement un spécialiste de Mars ; Il est un spécialiste du système solaire. Il est probablement un des pontes de l’exploration planétaire. Aussi cette personne m’a dit, « Vous devriez lire son livre si vous voulez savoir ce qu’il se passe vraiment en ce qui concerne Mars. » Aussi, j’ai cherché ses livres, et il y a un livre appelé « Mars Underground », qui parle d’une base secrète gouvernementale de Mars parce qu’ils ont trouvé une civilisation morte sur Mars [5].
« Mars sous Terre » publié originellement le 15 Juin, 1997 par William Kenneth Hartmann, docteur, conseiller scientifique planétaire de la mission Mars Global Surveyor de la NASA est considéré comme un expert de la planète rouge comme personne sur Terre aujourd’hui.
Mars sous terre fut écrit en 1997, et puis le livre suivant qu’il écrivit fut appelé « les cités d’or ». Il fut écrit en 2002. Et là se trouve la chose intéressante. William K.Hartmann n’est pas seulement le grand spécialiste de l’exploration planétaire- La Lune, Mars, Venus, Jupiter, et tout le reste- il fit aussi partie de l’étude Condon[6]
Note de l’éditeur : Edward Condon fut un physicien de l’Université de Colorado que l’U.S Air Force avait mandaté et financé pour réaliser une étude sur les OVNIs entre 1966 et 1968. Le comité a produit un « Rapport Définitif » qui racontait que l’étude des OVNIs était fort peu propice à produire des découvertes scientifiques majeures. Mais d’autres scientifiques tels que le physicien estimé James Mc Donald conclurent que le rapport était « inapproprié » et biaisé dans son examination de seulement une faible portion des rapports d’OVNI les plus stupéfiants.
Linda Moulton Howe :
Sans blague !
John Brandenbourg :
Oui, il en faisait partie. La personne qui me l’a dit, elle ne dira jamais rien à ce sujet, mais ils me dirent que c’était une sorte de savoir parmi le cercle intérieur que ces deux romans étaient à propos de la réalité sur Mars. »
Bon, voilà, personnellement et si cela devait se révéler exact, je trouve cela bien plus percutant que cette histoire de « Tic-Tac » du Nimitz avec en plus un certain nombre d’observables à vérifier comme par exemple les rapports Xénon-129 / Xénon-132 sur Venus, les rapports isotopiques des couches contemporaines de l’extinction du Triassique/Permien, les rapports sur Uranus, etc. Juste une question de faits qui ne demandent qu’à être étudiés, complétés. Quant aux implications, si tout ceci devait se confirmer, alors ce serait une toute autre paire de manches dont il faudrait peut-être demander à Mac Tonnies et aux cryptoterrestres quelques tuyaux…Je m’égare, il est vrai qu’il vaut mieux ne pas trop plaisanter avec ces sujets.
[0]
Il est intéressant à ce propos de comparer les démarches qui prétendent nous amener à la connaissance. Pour le pseudoscepticisme, celle-ci est intégralement basé sur le système du jugement au détriment des faits. Il faut impérativement statuer sur une affaire qui en bonne logique du tiers exclu ne peut se réduire qu’à une méprise, une confusion, une hallucination etc vous connaissez la musique et le témoin, au mieux c’est quelqu’un qui se trompe, au pire un faussaire et tout cela à la lumière « naturelle de la vérité pseudosceptique » qui serait garante de la démarche scientifique. En fait, on patauge en plein paradoxe dans une démarche à la fois contraire à la démarche sceptique et à la science. On a passé son temps à juger à partir d’un système de croyances limité sans vraiment s’interesser aux faits si ce n’est pour les tordre ou les modifier afin de les faire rentrer dans la boîte normalisée du « c’est expliqué selon le système de croyances», une mécanique bien pratique en matière de désinformation. Cependant, le château de cartes s’effondre dès lors la science apporte elle-même une autre lumière sur les faits…
[1] MAPI :
Une société curieuse où il est question de nouvelles technologies, Tesla, etc. Cryptoscience ?
[2]
Voir le programme et ceux qui contribuent à l’événement.
La journée d'intervention de John.
[3]
Comme par exemple le dossier Ummo. N’est ce pas en substance ce que nous disent les ummites qui nonobstant leurs différences physiologiques peuvent se balader parmi les humains, tout au moins les « caucasiens » en toute sérénité ?
[4]
Mais est-ce aussi vrai sur Uranus ? A vérifier.
Uranus, pour un temps surané?
[5] Une civilisation martienne antique, des extraterrestres, des problèmes de mémoire, d’implants et de mutants…Voyons voir, un coup de Hollywood et de cinéma et boum « Total Recall ».
Total Recall ou la technique du ressouvenir mise à l'écran pour une réalité subliminale?
[6]
http://files.ncas.org/condon/text/appndx-x.htm
WILLIAM K. HARTMANN (Section III, Chapter 2; Section VI, Chapter 2) is assistant professor at the University of Arizona's Lunar and Planetary Laboratory. He was named co-winner of the 1964-65 Ninninger Meteorite Award. The previous year he had acted as consultant to North American Aviation for LESA studies (NASA). He was also a member of Geosciences Panel to recommend post-Apollo lunar research. He has made lunar and planetary photoanalyses in Mexico, Hawaii and Arizona volcanic fields. His Ph.D. (Ariz.) is in astronomy.